Pour ma fille
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... pénétration. Je noue mes bras autour de son cou. Je murmure des mots insensés, le suppliant d’accélérer. Il continue ses puissants va-et-vient, à son rythme, lentement. Il est mâle dominant, je suis femelle soumise. Chaque fois que je jette mes hanches vers l’avant, il esquive et recule. Il est archet, je suis violon. Peu à peu, il accélère sa cadence, le plaisir monte dans mes reins, je griffe ses épaules, je suis fontaine. Il ne bouge plus, attend que je reprenne mon souffle et reprend ses coups de piston. Enfin, il s’encastre en moi et me remplit de sa semence en grognant.
Le calme après la tempête… À la lueur de ma lampe de chevet restée allumée, je l’observe somnoler sur le dos. S’il n’avait pas ce nez de mauvais garçon, il aurait un visage presque infantile. Sa respiration est régulière. Sur sa forêt pileuse, gît son sexe au repos, légèrement recourbé. Le gland sombre reste imposant. Je fais courir mes ongles dans les poils de son abdomen. Pourquoi ce mauvais garçon me donne-t-il un plaisir si intense ? Je suis folle, je me suis attachée à un partenaire que je n’aurai jamais dû côtoyer, le jeune voyou des cités qui avait séduit ma fille, moi, la mère bien-pensante, la collaboratrice irréprochable, la bourgeoise de Saint-Cloud. Ma main a atteint son membre. Je l’effleure. Sa peau est douce. Mais déjà son pieu durcit. Il entrouvre un œil, me sourit et me murmure :
— T’en veux encore ? Je vais te prendre là où je ne te connais pas encore…
J’imagine tout de suite ...
... le sens de sa promesse. Malheureusement, mes expériences précédentes (elles datent !) se sont révélées fort douloureuses. Non seulement je n’ai pas atteint le nirvana, mais en plus j’ai eu mal et ai souffert pour m’asseoir plusieurs jours après !
Je lui fais part de mes réticences, en insistant sur son « format » hors norme. Sans m’écouter, sûr de lui, il me retourne, me positionne en levrette, s’agenouille et frotte son engin contre mon petit trou. Ses doigts qui courent sur mon périnée me donnent des fourmis. Mais je suis trop étroite, il s’en rend compte. Il se relève, et me dit :
— J’ai une idée, reste comme ça !
Je l’entends s’éloigner vers ma salle de bain. À son retour, il pose ses doigts sur mon anus. Ils sont froids, visqueux. Je réalise qu’il a dû prendre une de mes crèmes. Il m’en barbouille une quantité surprenante, tout en me caressant la chatte. Je sens l’envie monter dans mes reins. Il presse, avec de plus en plus d’insistance. Je me contracte malgré moi. Et puis, d’un seul coup, je le sens me pénétrer. Heureusement, il est doux, je sens qu’il se retient. Mes parois se distendent, j’ai des sensations étranges, mi-plaisir, mi-douleur. Inexorablement, il se glisse dans ma grotte. Je suis comme spectatrice du traitement qu’il m’exige. J’arrive cependant à me détendre peu à peu. Alors il en profite, et entame son lent pistonnage tout en tripotant mon clitoris. Je le sens venir, et nous jouissons à l’unisson…
Lorsque je me réveille, la lumière filtre à ...