1. Observation


    Datte: 05/09/2019, Catégories: ffh, amour, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels massage, Oral pénétratio, jouet, jeu, sf, Auteur: iam.knowbodies, Source: Revebebe

    ... aussi simple à maîtriser qu’elle l’avait espéré. Ce qui n’est peut-être pas un mal, tout compte fait. En tout cas, elle ne va manifestement pas s’ennuyer !
    
    — Vous faites un sacré couple, tous les deux, murmure-t-elle. Mais pour ce qui est du travestissement, vous avez mis la main sur une spécialiste. Ça fait des années que je me déguise, généralement en homme à cause de ma taille, quand je fais un tour à Sa’Styria. C’est comme pour le cinéma, sauf qu’il faut que ça tienne au moins plusieurs heures sans retouches…
    — Ah oui ? Et comment tu caches tes oreilles ? demande Ardent.
    — Elles sont longues, mais elles sont fines. Donc, ’suffit d’enrouler les dix centimètres en trop !
    
    Elle joint le geste à la parole, et en effet, une fois enroulée, son oreille ne se remarque plus, surtout avec ses longs cheveux…
    
    — Bon, je te rappelle qu’on a une petite Ardente à créer, pour l’instant ! reprend Braise. Après tout, chacun sait que les filles aiment jouer à la poupée !
    
    Ce dont elles ne se privent pas. Après l’avoir extrait de sa combi de bord, elles l’entraînent sous la douche, s’infligeant mutuellement les ablutions indispensables à leurs jeux à venir. Quelques touches légères de maquillage, un soupçon de parfum, et toutes sont prêtes à passer à l’habillage. Mais déjà, avec ses longs cheveux blancs cascadant sur ses épaules, son visage aux traits fins débarrassé de son dernier attribut viril (le bouc qui prolongeait son menton), et son corps rasé de frais, « Ardente » est ...
    ... fort troublante – malgré l’absence d’artifices pour altérer sa morphologie…
    
    Leurs préparatifs se poursuivent dans une intense excitation, encore exacerbée chez les deux humains grâce à leurs échanges émotionnels. Après force essais, changements d’avis et fous rires, finissent par émerger du tourbillon textile une Braise en robe fourreau bleu nuit, une Kina enbad girl vêtue à même la peau de cuir rouge vif, souple et moulant à souhait, et une Ardente en « princesse ». Car bien évidemment, c’est elle qui a hérité de la toilette à la féminité la plus exacerbée, une robe blanche agrémentée de dentelles et rubans, dont le haut forme une espèce de corset de satin qui, de par sa conception, s’adapte sans problème à son absence de poitrine, tandis que la jupe en tulle très légèrement transparent cascade autour de ses jambes pour venir lui caresser les chevilles. Le tout rehaussé de quelques affriolantes fanfreluches aux nuances de rose ou de mauve pâle.
    
    Une fois apprêtées, et tandis qu’Ardente, conseillée par Kina, fait quelques évolutions pour s’habituer à ses escarpins blancs à talons hauts, Braise réduit l’éclairage à une chaude pénombre ambrée, puis lance le programme musical qu’elle a concocté dans l’après-midi.
    
    Une fois les meubles repoussés sur les côtés, la cabine est juste assez spacieuse pour leur permettre de danser sur ce mélange de morceaux rythmés ou langoureux, tendres ou torrides. Tour à tour seules, à deux ou à trois, elles se cherchent, se frôlent, échangent ...
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