Voilà pourquoi les élèves français sont faibles en anglais
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
fh,
école,
toilettes,
Oral
uro,
Humour
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
— Tais-toi ! Nous allons nous faire repérer !
— Je n’en peux plus…
— Garde ton calme, bon sang !
— Comment veux-tu…
— Chut !
— … alors que tu as tes mains sur…
— On vient ! Tire la chasse !
— … mes seins.
— Tu as les tiennes dans mon slip et je reste cool.
— C’est que tu ne m’aimes pas comme je t’aime.
— Coralie !
— Ou alors que tu as tellement l’habitude qu’une fille…
— Chut !
— … te caresse les testicules que tu es blasé.
— Mais non, la dernière qui m’a caressé comme ça, c’était toi.
— Mais je ne t’ai jamais caressé comme ça !
— Mais si ! Souviens-toi.
— Non, j’en suis sûre !
— Ou bien c’est Sébastien qui m’a raconté que tu lui as fait ça.
— Oui, Seb, c’est exact. Mais pas toi, alors ?!
— Il me l’a raconté tellement bien que j’ai cru que je l’avais vécu.
— Et d’ailleurs, pourquoi il raconte tout à n’importe qui, celui-là ?
— Je ne suis pas n’importe qui.
— Fous-moi à poil !
— Dans les chiottes ?!
— J’adore !
— Merde, on vient. Tire la chasse !
— Encore !?
— Le mieux serait que tu pisses.
— En vrai ?
— Mais oui, en vrai. Je ne vais pas faire : « psss » avec les lèvres…
— Ça marcherait pas.
— … alors que tu as tout ce qu’il faut pour le faire en vrai.
— Et toi, pourquoi tu ne le ferais pas à ma place ?
— Figure-toi qu’on ne peut pas pisser pendant qu’on bande.
— Bon, bon. Tu vas regarder ?
— Il y a intérêt. Tâche que ça s’entende. Sinon il y en a qui vont frapper à la porte.
— Mais pourquoi tu montes sur les chiottes ?
— Parce que sinon ...
... sous la porte, on voit qu’il y a quatre pieds, banane.
— J’arrive pas à pisser. Trois gouttes, c’est tout.
— Force-toi un peu. Et puisque je suis à la bonne hauteur…
— Je suce, j’ai compris.
— Tu sais, je suis d’accord pour rater la physique, mais l’anglais j’y vais.
— Suce et pisse, bon Dieu !
— Merde, on frappe !
— Occupé !
— Tu es con ! C’est toi qui réponds et comment je fais pour sortir de là maintenant ?
— Tu n’avais qu’à répondre, toi !
— Mais tu me dis de sucer. Faudrait savoir !
— Je t’avais dit surtout de pisser.
— On fait ce qu’on peut.
— En pissant, tu pouvais répondre : occupé.
— Si j’avais pissé, il n’aurait pas frappé.
— Moi, je peux sortir, mais j’ai la gaule…
— J’ai compris…
— Ah, c’est bon ! C’est Broadway ! C’est Paris-Saint-Germain !
— C’était bien la peine de me dire de fermer ma gueule.
— T’es quand même une sacrée pipeuse.
— Dis donc, si tu sors et qu’un mec rentre aussitôt ?
— Un mec que tu ne connais pas ?
— Mais même un mec que je connais !
— Non, si c’est un mec que tu connais, ça s’arrange…
— Mais je t’explique que je veux aller en anglais !
— Putain, j’entends la voix du surveillant général !
— Tu ne bandes plus ; tu peux pisser.
— Alors dégage ! Ca fait une demi-heure que tu es assise !
— Pisse sur moi !
— Tu es folle !
— J’adore !
— Je ne peux pas : ça me fait bander.
— Vous êtes compliqués, les mecs ; nous, on fait tout en même temps.
— Et puis tu vas aller en anglais en puant la pisse ?
— La pisse de mec, c’est ...