1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1259)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Petite chienne au Château - (suite de l'épisode N°1242) -
    
    - … Pas un bruit, je compte sur les gardiens, pour vous corriger si besoin et vous utiliser s’ils en éprouvent le besoin également…
    
    Le Majordome arriva dans l’Enclos, rapidement, on se mit en place, en position d’offrande face aux barreaux. Sa cravache résonna contre ceux-ci. La porte adjacente s’ouvrant, on nous ordonna de sortir l’un derrière l’autre, et de suivre en silence. Les esclaves mâles comme femelles furent emmenés dans une pièce sombre. On nous installa en cercle, le cul relevé, front au sol, nos mains écartant nos trous, alignés les uns à côté des autres, d’un côté les soumis formèrent la moitié du cercle et les soumises l’autre moitié. Nos ceintures de chasteté furent enlevées, exposant ainsi une vue impeccable sur nos orifices largement exhibés à quiconque passerait par là. Je sentis une plaque froide en métal reliée à des cordelettes qu’on ficela autours de ma cuisse. La lumière envahit la pièce, et la salle se remplit, des bruits de talons hauts résonnaient dans la pièce ainsi que des conversations mondaines.
    
    Nous étions ainsi à même le sol, au centre de la pièce, je sentais par moment, des mains se baladant sur ma croupe, un doigt ou l’autre testant mes orifices. Certains convivent parlaient de nous, de notre morphologie, ils nous assignaient à des matricules. Je compris très vite que les plaques accrochées à nos cuisses, permettaient ainsi de nous identifier. Nous n’étions qu’un matricule, ...
    ... rien de plus pour l’instant, une simple suite de chiffres et lettres, qui permettaient de nous distinguer. L’humiliation était forte, j’avais l’impression d’être réduite à un esclave, comme dans les anciens temps. Sous le poids de ma position, mes mamelles étaient aplaties à même le sol, et mon front commençait à être douloureux. Mais, je ne disais mot, gardant la position, je voulais démontrer que j’avais ma place dans leur monde, à ma juste place, à même le sol, délaissée, et utilisée par ceux à qui je devais respect et obéissance. Je pris conscience que ma réduction à l’esclavage était justifiée, c’était ma juste et unique place. Ce matricule qui m’avait été assigné, je finis par le ressentir comme une fierté et non comme une humiliation.
    
    C’est donc dans une parfaite mobilisation et en silence, que je conservais ma position avec difficulté, certes mais avec fierté, car je me sentais revivre, comme une forme de renaissance, prenant conscience que cette place, cet état d’esclave m’avait toujours manqué, même sans véritablement m’en rendre compte durant des années. J’étais enfin dans la seule position où je me sentais être moi-même en totale harmonie avec ce que Dame Nature avait fait de ma modeste personne… Ainsi, je voulais prouver au Maitre des Lieux, Monsieur le Marquis d’Evans, grand Maitre reconnu en ce monde de la Domination/soumission, que j’avais cette place, que j’espérais mériter cette place… ma place !... Et ainsi, être cette chienne soumise, cette salope, cette ...
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