1. Permission de minuit


    Datte: 04/09/2019, Catégories: hh, inconnu, jardin, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral hsodo, init, confession, inithh, Gay lieuxpubl, Auteur: Peter260, Source: Revebebe

    Une petite aventure qui m’est arrivée pendant mon service militaire au début des années 80, période où l’on pouvait s’aimer avec insouciance. J’avais vingt ans et n’étais pas encore sûr de mon orientation sexuelle ; aujourd’hui j’ai cinquante ans, et toujours pas de certitude. Je crois que j’aime faire l’amour, et peu importe le sexe du partenaire.
    
    Donc j’étais incorporé depuis quelques semaines et j’avais eu largement le temps de repérer les endroits festifs sexuellement parlant. Il y avait un joli petit parc avec des toilettes aux abords de celui-ci, qui attirait la nuit venue beaucoup d’hommes, et parfois des couples en recherche de sensations fortes. C’était un lieu que je fréquentais assez souvent. Étant de nature exhibitionniste, j’avais trouvé le moyen de satisfaire mes fantaisies, dont une consistait à me promener totalement nu dans ce parc ; j’y ai pris beaucoup de plaisir.
    
    Donc par une douce nuit du mois de juin où j’étais normalement bloqué à la caserne, une irrépressible envie de m’exhiber me poussa à faire le mur. J’avais enfilé le survêtement bleu que l’armée m’avait fourni, mais sans tee-shirt ni caleçon dessous (plus pratique à enlever), un petit sac à dos avec à l’intérieur une bouteille d’eau, des mouchoirs et un tube de vaseline.
    
    J’avais remarqué un grand lampadaire en béton le long du mur d’enceinte, et il ne me fut pas difficile en escaladant un muret de me laisser glisser le long de celui-ci. Une fois dehors, je me dirigeai vers ce parc qui, ...
    ... bien que fermé la nuit par un grand portail en fer forgé, disposait de deux autres portillons d’un mètre soixante de hauteur : autant dire un jeu d’enfant pour quelqu’un qui venait de franchir un mur de quatre mètres.
    
    Une fois à l’intérieur, je me déshabillai et commençai à arpenter les allées qui n’étaient éclairées que par la lune et une faible luminosité produite par les lampadaires entourant le parc. La douceur de la nuit, la crainte d’être surpris faisaient monter en moi une étrange excitation. J’avais pour seul habit mon sac dans lequel j’avais rangé mon survêtement. Je me caressais allègrement tout en me rapprochant des toilettes qui se trouvaient accolées à la clôture du parc. Il y avait des buissons, des bosquets, tout ce qu’il fallait pour se dissimuler, ce que je fis pour épier toutes les personnes qui se présentaient.
    
    Un homme d’une quarantaine d’années sortit des WC et alla s’asseoir sur un banc. Le pantalon baissé à mi-cuisses, il se masturbait quand un autre homme vint s’asseoir à côté de lui : il empoigna sans un mot cette queue qui avait pris une belle dimension. J’étais idéalement placé, à moins de trois mètres, caché par la végétation ; j’essayais de faire le moins de bruit possible tout en me branlant frénétiquement.
    
    L’homme arrêta sa branlette pour sucer ce dard qui n’espérait que cela, et j’entendis l’un des deux proposer d’aller chez lui ; l’autre acquiesça et ils partirent, me laissant seul. J’aurais aimé les accompagner pour moi aussi les ...
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