1. Confidences de ma soeur


    Datte: 04/09/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... pas malsain, juste du plaisir, partagé de surcroît, les vacances c’est la liberté, et demain le départ vers d’autres aventures…
    
    - Tu es très inventif… Je suis mariée, je l’aime, enfin, je… crois…
    
    - Avec la routine, la passion s’envole, il faut redonner du punch, d’abord à ta libido qui semble à 0… Depuis quand tu n’as plus fait l’amour ?
    
    - Mais je....
    
    - Chut !... Nous sommes entre adultes, personne ne t’entend, ne te voit, ne te juge…
    
    - 4 mois environ…
    
    - Voilà la raison première de ton spleen. Tu as besoin de réactiver tout ça…
    
    - Avec toi, évidement ?
    
    - Je ne te plais pas ?
    
    - Si, non, enfin, je…
    
    - Alors je te raccompagne au parking…
    
    Son baiser me surprend, il me pousse vers une entrée d’immeuble, un hall sombre, des escaliers. Il m’appuie contre un mur, prend mes seins à pleines mains sous mon chemisier, qui se déboutonne tout seul… Il les sort, les lèche, m’embrasse encore, tête, suce, caresse mes bouts avec sa langue…
    
    Son membre est dur, contre mon ventre, pousse…
    
    Je résiste, mais le combat est inégal, je crie, ou je capitule ?
    
    Ses lèvres glissent dans mon cou, une main caresse mes cheveux…
    
    - Ne me dis pas que tu ne ressens rien…
    
    Je hausse les épaules dans le noir, dans le silence, juste nos froissements, justes mes premiers soupirs, rauques, profonds…
    
    Il soulève ma jupe fleurie, achetée ce matin au marché…
    
    Sa main s’insinue, je ne bouge pas encore, je serre mes cuisses, il a du mal… à me faire du bien…
    
    Une main ...
    ... revient sur mon sein, le caresse, le masse, insiste, pince… Son sexe appuie de nouveau, insistant, gonflé, plus gros, plus intense… Il est en rut !
    
    Je suis épinglée, coincée contre ce mur, dans cette encoignure, son doigt insiste, passe sous ma culotte…
    
    Oui ou non ? Cris ou gémissements ?
    
    Je me débats franchement ? On m’a dit à ce stade, un coup de genou suffit… Bien placé, franc et direct…
    
    Je me souviens d’un invité, un cousin de mon mari, à son anniversaire. J’étais dans la même situation, dans le jardin, sur la table de rempotage !... Il allait arriver à écarter mes cuisses, je les serrais… On entendit des enfants courir, il m’a relâchée, ébouriffée, pantelante, les jambes tremblantes en me remettant debout d’un bon, lissant ma robe, remettant en place mon soutien-gorge…
    
    La lumière de l’escalier s’éclaire, il me relâche, je me détends…
    
    Rien… Personne… On se sait dans quelle direction aller… Nous restons sans bouger, face à face, je distingue ses yeux plongés dans les miens…
    
    Une minute interminable…
    
    Il s’est rapproché de moi, je ressens sa chaleur… Je n’ai rien fait, rien dit, pour lui, j’ai accepté de me laisser peloter comme mes collègues dans les couloirs du Lycée, comme le font les ados des grandes classes…
    
    Puis une autre minute…
    
    L’attente est inutile, alors ? Pourquoi on reste ? Si la personne qui a appuyé venait de l’extérieur, nous l’aurions entendue arriver, et nous serions échappés soit vers la cour, soit par l’escalier, vers dans les ...
«1234...»