COLLECTION DOMINANT DOMINE. Chargée d’affaire (1/1)
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... en modifiant un modèle existant, nos ingénieurs sachant le faire.
• 2 000 pièces, cela vous irait !
La rousse flamboyante qui me reçoit dans son bureau est directe, elle m’annonce ce chiffre, détrompez-vous 2 000 c’est par mois et pour une durée de deux ans au minimum, avec une clause de revoyure au terme de ce contrat.
• Bosser, j’aime, mais prendre un peu de plaisir, c’est mieux, tu es descendu à quel hôtel !
• Près de la gare.
• Ton patron est loin d’être généreux, ces hôtels sont des lits à punaises, nous allons passer chercher tes affaires et tu coucheras chez moi,aucune inquiétude, aucun mâle à la maison.
Le tutoiement que je laisse passer ajouter à la manière qu’elle a de prononcer le mot mâle aurait dû m’alerter, mais nous passons à l’hôtel, la chambre étant réglée directement par la boîte, nous repartons dans sa voiture de sport.
Je passe le temps du resto, la seule chose que je remarque, c’est le regard intense qu’elle me porte, j’ai l’impression d’être déshabillé par son regard.
En sortant, elle me prend la main, son contact me plaît, j’ai l’impression d’évoluer dans un nouveau monde, elle me conduit dans un bar proche, si j’avais des doutes sur Véronique, ils seraient vite balayés, à l’intérieur seulement des filles, rapidement nous sommes entourées par plusieurs d’entre elles.
Et que je te bise à droite et que je bise à gauche, une main dans les cheveux de l’une puis de l’autre, elle est ici chez-elle, je sais que je viens de ...
... tomber dans les pattes d’une parfaite lesbienne.
Rien ne m’ennuie, dans mes pensées, faire l’amour avec une femme ne me semble pas tromper mon mari qui doit dormir avec mon fils à ma place, ils font toujours cela quand je les quitte.
Je n’ai jamais essayé les amours féminins, même si quand j’étais jeune Élodie, ma copine m’a fait des avances que j’ai tranquillement repoussées, sucer la bite de mon mec étant déjà une nouveauté pour-moi.
C’est dans le bar qu’elle me passe une main aux fesses, je me laisse faire, j’ai compris que j’avais signé un contrat à long terme qui va plaire à mon patron, pourquoi la braquer surtout quand j’ai envie de me faire brouter la chatte…
Je viens d’arrêter de fantasmer, nous sommes nues dans sa chambre, je suis à moitié allongée sur son lit, je vois sa crinière rousse venir vers moi et en quelques secondes mon clitoris est aux anges.
Je jouis facilement à l’introduction de la queue de Julien, là c’est différent, l’onde qui me submerge monte et descends avant d’éclater comme le ferait un feu d’artifice.
Mes seins, elle ne les oublie pas alors que dans mon ménage, ils sont les grands oubliés.
Bref après lui avoir donnée bien du plaisir, du moins c’est ce que je ressens, nous nous endormons avant que le lendemain, elle ne me raccompagne à la gare.
Je roule dans le TGV vers Paris forte d’une expérience nouvelle.
Mes hommes me retrouvent avec grand plaisir, je n’ai pas assez de place sur mon visage pour que leurs deux bouches ...