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Révisions de fin d'année
Datte: 04/09/2019, Catégories: fh, ff, hh, fhh, grp, fbi, hbi, jeunes, copains, grossexe, grosseins, hépilé, fépilée, bain, magasin, essayage, voiture, douche, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, rasage, entreseins, facial, Oral 69, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, Auteur: Zwico, Source: Revebebe
... ? — Pas forcément. Il y a aussi des célibataires. — Belle mentalité ! Ceux qui sont déjà en couple peuvent aussi réussir. — Oui, mais seulement s’ils assistent aux mêmes cours. Olivier demeure pensif. — Quand même. Quand j’y pense, c’est bizarre… Je suce un autre mec presque tous les soirs. Et je fais ça tout naturellement, sans aucune gêne. — Tu te fais sucer aussi. — Ce n’est pas pareil. En fermant les yeux, je peux toujours penser que c’est une fille qui me suce. — Tu sais, quand on a pris l’appart en septembre, on n’avait aucune prédisposition. On était hétéros tous les deux. Cédric repense à ce qui s’est passé huit mois auparavant. — En fait, c’est toi qui as commencé. — Comment ça ? — Déjà que tu ne fermais pas la porte de la salle de bains quand tu étais dedans, tu m’as demandé si ça ne me gênait pas que tu te balades à poil dans l’appartement. — Ben oui, c’est absurde de s’habiller pour aller de sa chambre à la salle de bains. — Tu m’as ensuite raconté que tu faisais du naturisme. — C’est vrai. J’en fais depuis que je suis tout petit. — Et du coup, tu t’es baladé nu dans l’appartement presque tout le temps. Le matin pour le petit déjeuner, l’après-midi en rentrant des cours, le soir pour regarder la télé. — Tant qu’à faire… — Donc, je me suis retrouvé comme un con à rester habillé alors que tu étais nu. C’est même une situation gênante pour celui qui reste habillé. C’est paradoxal. — Je sais, on me l’a déjà dit. — Alors je me suis mis nu ...
... aussi. — Je t’avais déjà vu nu dans la salle de bains. — Évidemment, tu ne voulais pas que je ferme la porte à clé. — C’est plus pratique le matin. On gagne du temps si on peut y être en même temps. — Tu en profitais même pour me mater la bite. — Simple curiosité. Toi aussi tu n’arrêtais pas de me mater quand je me baladais à poil. — Peut-être… Cédric se remémore les mois qui ont suivi. — Alors ça ne t’a pas suffi. Tu as continué. — Comment ça ? — Tu as ramené des cassettes porno. — Elles auraient été détruites sinon, puisque mon cousin passait tout son vidéo-club en DVD. — Et tu m’as proposé de les voir aussi ! — C’est vrai, mais on n’a qu’une seule télé. Je n’allais pas les regarder en cachette, quand même. — C’est donc comme ça qu’on a commencé à les regarder ensemble. On était assis ici, à poil, devant un film porno. Forcément, ça donne envie de se caresser un peu. On s’est retrouvés rapidement en érection et là, forcément, on n’a pas pu résister à l’envie de se branler sans se soucier de son voisin. — Eh oui. C’est normal. — Mais par curiosité, chacun s’est mis à regarder comment l’autre se branlait. — C’était d’autant plus facile qu’on était nus. — Du coup, un soir, pour voir, je ne sais plus comment c’est arrivé, on a essayé de se masturber mutuellement. — En effet, je m’en souviens. — Ça fait drôle, au début, de tenir dans sa main une bite qui n’est pas la sienne. — C’est vrai. C’est une sensation bizarre. — J’étais mal à l’aise, mais très ...