1. Séminaire annuel


    Datte: 12/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral bourge, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... croisais le regard de mon boss, j’étais au bord de l’arrêt cardiaque. Il ne pouvait pas ignorer que sa femme avait « disparu » une partie de la nuit, ni qu’elle sentait le sexe à plein nez à son retour à leur chambre. Que savait-il au juste ? Et à mon sujet ?
    
    Nous avons terminé nos travaux à 16 h 30, juste quand les conjoints revenaient fatigués de leurs visites.
    
    Le président, comme il est d’usage, s’est fendu d’un discours pour lever le séminaire.
    
    Il a remercié collectivement les participants et leurs conjoints pour leur participation active et sympathique, discours très convenu ; mais quand l’épilogue est arrivé, j’ai eu l’impression d’être écrasé par les regards de mes collègues :
    
    — Et je tiens à remercier tout particulièrement Florent, mon secrétaire général, dont le sens de l’organisation, la minutie, l’engagement, l’opiniâtreté, ont permis à chacun de se sentir bien dans ce séminaire, que ce soit dans le déroulement des travaux ou activités ludiques, ou durant les repas. Il a largement payé de sa personne pour la satisfaction de chacune et de chacun.
    
    « Chacune… » J’ai eu une bouffée de chaleur en imaginant ce qu’il avait derrière la tête en disant ça.
    
    J’avais hâte que tout le monde parte pour aller vomir. Saluant les collègues et leurs conjoints à la sortie de l’hôtel, je me voyais près du but. Puis arrivèrent le président et son épouse, radieuse comme toujours. Arrivé à ma hauteur, il empoigna ma main avec vigueur, et les yeux dans les yeux, à ...
    ... voix basse, son visage presque contre le mien, renouvela ses remerciements appuyés, terminant par « Et merci surtout pour Sandrine. »
    
    Elle le suivait de près. À son tour elle me tendit sa main, approcha son visage du mien, et également à voix basse me dit de regarder dans la poche intérieure de ma veste, avant de tourner les talons.
    
    Enfin dans les toilettes, j’ai découvert son string dans ma poche revolver, ainsi qu’une carte de visite portant son numéro de téléphone portable, et sur laquelle elle avait inscrit « Appelez-moi dès que vous avez cette note. »
    
    Elle savait pertinemment que j’allais trouver sa carte dans les cinq minutes de son départ, et sans doute aussi que je n’oserais pas l’appeler alors qu’elle était avec son mari en voiture. Je décidai donc de lui envoyer un SMS :
    
    J’ai trouvé votre cadeau et votre carte. Merci infiniment. Merci aussi pour cette merveilleuse nuit. Je suppose que c’était un accident ? Bien à vous.
    
    La réponse est arrivée quelques minutes plus tard :
    
    Je vous appelle.
    
    Et en effet, mon téléphone vibra immédiatement.
    
    — Florent ?
    — Oui Madame.
    — Vous allez bien ?
    — Très bien Madame, merci, mais vous n’êtes pas seule…
    — Non, en effet, mon mari conduit.
    — Il vous entend alors.
    — Bien sûr qu’il m’entend.
    — Vous n’avez peur de rien.
    — De rien, mon ami.
    — …
    — Accepteriez-vous de venir dîner à la maison lundi soir ?
    — Mais c’est que…
    — Ne vous inquiétez pas, ce sera à la bonne franquette.
    — Mais Madame…
    — Pas de mais, ...