1. Séminaire annuel


    Datte: 12/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral bourge, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... devait être à une autre table. J’ai regretté un instant qu’on ne respecte pas mon plan de table, mais je sais faire contre mauvaise fortune bon cœur. Alors, puisque j’avais la chance d’avoir à mon côté la plus belle femme du monde, autant savourer.
    
    Facile à dire.
    
    Si au début tout le monde était un peu guindé en raison de sa présence, elle nous a vite mis dans sa poche. Elle rit à chaque blague, participe à toutes les conversations, sourit, questionne, et passent par son regard et ses gestes une large palette d’émotions. On a tous vite oublié qui elle était pour se délecter de ce qu’elle est : une femme simple et directe, drôle par moments, digne et droite.
    
    Notre second contact avait été tactile, et ce côté « je te parle donc je te touche » m’avait surpris, bien sûr, mais comme ça a duré pendant tout le repas, j’ai fini par ne plus y faire attention. Mais quand c’est sa jambe gauche qui est venue effleurer ma jambe droite, j’ai eu comme un frisson. Maladresse ? Une fois peut-être, mais pas la seconde, pas la troisième. Elle me touchait de plus en plus souvent et ça ne pouvait qu’être volontaire. Si ça m’a pétrifié, ça m’a aussi ému. C’était le début de l’été et madame ne portait pas de collants ou de bas. Enfin, c’est ce qu’il m’avait semblé. Et sentir sa peau nue contre mon pantalon me faisait aussi ressentir une chaleur intense. Surtout que, petit à petit, il ne s’agissait plus de contacts fortuits, mais d’un contact permanent. Elle avait appuyé sa jambe contre la ...
    ... mienne et bougeait son pied de haut en bas, provoquant un frottement très doux. Elle me caressait. Et je n’ai rien fait pour qu’elle arrête. En même temps, je ne pouvais pas imaginer autre chose que le prolongement d’un comportement très tactile.
    
    Les conjoints étaient pris en charge par des animateurs l’après-midi pendant que nous travaillions. Karting, spectacle, puis retour à l’hôtel pour profiter du hammam, du sauna, de la piscine, de la salle de sport. Pendant ce temps, nous étions en mode gamberge ; le président nous avait concocté un programme lourd, mais pas ennuyeux. J’ai eu du mal à me concentrer en repensant sans cesse à cette femme, à son contact chaleureux, à ses yeux, à ce que je pouvais imaginer de son corps. Et je regardais le président, me disant encore et encore qu’il avait une chance inouïe. J’ai dû me faire violence pour arrêter de penser à eux au lit. Mais ça m’a traversé l’esprit.
    
    Nous avions quartier libre une heure avant le dîner et j’en ai profité pour aller faire quelques brasses. Alors que je nageais, j’ai vu madame sortir du sauna, une serviette autour du buste. Elle s’est arrêtée pour me regarder. J’ai bien cru que j’allais me noyer.
    
    Elle s’est approchée du bord pour me parler et j’ai dû m’approcher. Accoudé aux margelles, j’ai relevé la tête. Elle était là, debout devant moi. Sa serviette n’arrivait qu’à mi-cuisses. De ses deux mains sur son torse, elle pressait cette serviette pour éviter qu’elle ne tombe. Elle me demanda simplement si ...
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