Mamie Geneviève (28)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: yphos, Source: Xstory
... discrètement.
Mon genou n’est plus qu’à un centimètre du sien !
Son souffle s’accélère et son livre tressaute dans ses mains tremblantes. Il n’ose pas entrer en contact avec moi.
Je pose mon coude sur l’accoudoir qui nous sépare et mon bras touche le sien, je le perçois tressaillir.
Le contact est discret au début, mais mon jeune homme s’enhardit en pressant davantage son bras contre le mien. J’entreprends alors d’effectuer d’imperceptibles rotations de mon bras sur le sien pour approuver son initiative.
Je pousse mon genou vers le sien et ajuste ma position sur mon siège afin de m’approcher de lui et faire en sorte que son coude puisse toucher mon sein.
Car, en ce moment, j’ai envie de revivre l’instant où mon petit fils m’avait caressé le sein au cinéma (voir chapitre 1), ce qui avait été le début de ma nouvelle vie.
Mon voisin est essoufflé par l’émotion, mais apprécie beaucoup que je frotte mon galbe sur son bras. Il écarte un peu plus les jambes et je constate qu’il bande comme un âne. Nos jambes sont en contact appuyé désormais.
Si lui a délaissé son livre et l’a déposé en vrac depuis longtemps, moi je n’ai même pas ouvert ma revue. Le plus discrètement possible, je pose la main sur sa cuisse que je caresse du bout des doigts en convergeant progressivement vers son entrejambe et surtout ses couilles.
Alors que nos bras se croisent, il se laisse couler sur son siège afin de pouvoir mieux poser la main sur ma cuisse droite.
Il se lâche ...
... enfin !
Nous en sommes là quand approche l’hôtesse avec son chariot de rafraichissements. Il nous faut reprendre une posture correcte. Seuls nos pieds restent en contact alors que, l’un comme l’autre, nous reprenons notre souffle.
L’hôtesse lance un regard inquiet à mon jeune voisin au visage cramoisi, ce dernier la rassure en bafouillant qu’il a chaud. On peut le comprendre !
Le garçon baisse nos tablettes et remonte l’accoudoir qui nous sépare avant de prendre la collation que nous a proposée l’hôtesse.
Alors, que la jeune femme s’éloigne, nous échangeons un sourire complice et je souffle à l’oreille du garçon :
"Tu peux encore me toucher si tu veux"
Ce jeune aux abords si timides se dévergonde rapidement, car il glisse sa main ostensiblement sur mon sein pour le palper... maladroitement. Très vite, il entreprend d’effleurer mon téton qui durcit sous ses doigts. Il s’y prend si bien que je sens ma culotte se mouiller, alors que le plaisir m’envahit progressivement.
Je déboutonne mon chemisier et me tourne vers lui avec le regard suppliant.
Ce qui me paraît étrange c’est que je ne prête plus attention à son visage boutonneux. Je le trouve beau comme un cœur ! Je ne le vois plus comme un gamin, mais comme un homme qui me désire !
Je veux sentir sa main sur la peau de mon sein. Nous nous tournons l’un vers l’autre, presque face à face, quand ses mains entrent en action.
Une me palpe le sein alors que l’autre glisse sous ma jupe. J’écarte les jambes au ...