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La Révélation de Sophie (1)
Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory
... Non Monsieur. — Alors enlève ce pull ! — Monsieur s’il vous plait !!! » Elle est aux bords des larmes. « Je ne peux admettre que tu me résistes, tu le comprends n’est-ce pas ? — Heu… Oui… — Tu sais que ton entêtement est vain et qu’il a pour conséquence de te faire punir ». Elle hésite : « Je… je suis pudique Monsieur… — Tu penses pouvoir désobéir sans être punie ? — Je… Non. — Donc tu sais que tu vas être punie ? — Je… Je… — Et que ce sera mérité ? — Je… — Et que ce sera pour ton bien ! — Monsieur, ne me demandez pas ça ! — Tu as donc besoin de tester ma sévérité avant de t’exécuter ? — Mais, je ne peux pas !!! — Bien sûr que tu le peux puisque tu veux sortir de ton état. Il n’y a pas d’autre alternative. Tu finiras par te déshabiller. Mais où tu obéis immédiatement, ou tu seras d’abord très sévèrement punie. Tu veux vraiment me défier ? — Oh non Monsieur. — C’est pourtant ce que tu es en train de faire ! — Je m’excuse. — Exécute-toi ! » La bouche crispée, les traits pourtant si lisses sont tiraillés, elle oscille sur ses jambes, telle une pendule, d’avant en arrière, son corps sait qu’il faut se plier aux ordres mais son esprit coupe l’élan. « Et bien tu l’auras voulu ». L’engrenage. Il ne peut plus reculer. Elle est la victime idéale pour tester son pouvoir de domination. Plus intense qu’un rêve de soumission : le dressage d’un animal. Or, Phil est un bon cavalier. Il s’adonne à sa passion à ...
... raison d’une ou deux fois par semaine. Sa tenue est toujours prête dans la penderie de l’entrée. Pour l’heure, il n’a nullement besoin de toute la panoplie. Il n’est question ici que de la mise au pas d’une jeune pouliche rétive. Moins d’une minute lui est nécessaire. Et il revient dans le salon en faisant claquer contre sa jambe la lanière de cuir de sa cravache. Il a l’habitude de manier la badine au manche en bois souple. Il aime la faire siffler. Sophie a compris, a pâli. « Monsieur… — Saches que d’ores et déjà tu as mérité deux coups de cravaches ; un sur chaque sein ! Je ne fléchirai pas. A toi de décider si tu en veux plus. Tu en veux plus ? — Monsieur…. Non… — Alors enlève ce pull ». Elle tente encore de négocier. Les larmes aux yeux, suppliante, espérant l’apitoyer : — Mais pourquoi ? Monsieur, pourquoi ? S’il vous plait !!! — Parce que je l’exige. Ce que je veux, tu le veux. C’est, plus que ton intérêt, la seule condition de ton épanouissement. Tu le comprendras bientôt. Tu me remercieras. Mais tu as d’abord besoin d’apprendre. Quatre coups de cravache. C’est douloureux tu sais ! — Monsieur !!!! — Tu n’y échapperas pas. Reste à savoir combien de coups seront indispensables ». Elle esquisse le geste commence à soulever son pull, s’interrompt encore. « Ce que je te demande est tellement dérisoire ! Tu ne veux pas que je te sauve ? — Ôh si Monsieur ! Mais… Je… — Et tu penses que ta libération peut advenir sans effort ? Sans ...