1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... déclenches la jouissance. Pas moi.
    
    — Il n’empêche, je déteste ça, je… »
    
    Il la coupe sévèrement.
    
    — Je ne veux plus entendre de telles inepties ! Crois-moi que je vais rapidement te débarrasser de toutes ces niaiseries qui encombrent ton esprit et bloquent le processus d’épanouissement.
    
    — Mais…
    
    — Tu veux être à nouveau corrigée ?
    
    — Nonnnn…
    
    — Alors cesse de déblatérer. Je ne vais quand même pas perdre mon temps à discuter avec une petite dinde ! »
    
    La voici mortifiée. Il l’enfonce un peu plus. Il indique du doigt la marre qui macule le plancher.
    
    « Rends-toi plutôt utile. Tu crois que ta pisse va s’évaporer par magie ? Non ? Alors qu’est-ce que tu attends pour nettoyer ? Tu préfères que je te frotte le visage dessus, que je te fasse lécher ta pisse pour t’apprendre à être propre ? Alors file à la cuisine, remplit une bassine d’eau et prend une éponge ! Et après, tu me prépareras à manger. Il est bientôt midi trente. J’ai faim.
    
    — Mais… Je…
    
    - Dépêche-toi ! »
    
    Un interlude qui participe de la mise en condition, un détour pour finalement se rapprocher encore du but.
    
    C’est dingue comme elle s’est habituée à n’être qu’une moins que rien ! A quatre pattes, dans sa culotte pisseuse, retenant ses pleurnicheries, moins qu’une bonniche, l’exquise nichonne essuie l’urine avec une éponge. Sa position invite à l’usage lubrique, à commencer par les douces collines solidement arrimées, leurs délicats tétons roses, soulignés de traits saignants de cravache, ...
    ... louchent avec tendresse vers le sol, mais c’est surtout, sertie dans le coton imbibé, la croupe ferme et nerveuse qui accapare un regard jamais rassasié de remonter et dévaler le tremplin de la cambrure profonde, enthousiasmante rampe de lancement pour le trône moelleux. Un pouf de princesse avec aux cuisses les collants d’une poufiasse négligée au point de se pisser dessus. Le torse penchée en avant, le cul tendu vers Phil, prosternée, réduite à n’être faite que pour la queue, Sophie est offerte… mais pas encore prête à servir. Sans précipitation, il continue à la domestiquer.
    
    Il en rajoute à peine :
    
    « Dis donc, tu nous as fait une sacrée mare. Regarde, tu en a mis partout. Pas étonnant, tout à l’heure tu étais vautrée dedans comme une truie dans sa fange. »
    
    L’insulte atteint sa cible et les larmes coulent à nouveau.
    
    « … Allez… Encore un coup d’éponge. Essore la bien. Voilà, allez recommence. Là, c’est mieux. Tu peux te relever, ma puce. Maintenant, file à la cuisine pour me préparer à manger. Et avant tu te laves soigneusement les mains. Je n’ai aucune envie que mon repas ait un goût de pisse.
    
    — Monsieur…
    
    — Oui ma puce ?
    
    — Je… peux m’habiller… S’il vous plait… Et puis prendre une douche… et… me couvrir…
    
    — Tu as froid ?
    
    — Oui, s’il vous plait.
    
    — Je ne veux pas que tu tombes malade, ma puce. On va monter le chauffage.
    
    — Mais monsieur…
    
    — Ah ne recommence pas avec tes caprices ! Sinon… »
    
    Sous les ordres de Phil, elle ouvre le frigo, se ploie ...
«12...181920...27»