Police polissonne (39)
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... lui brûle les fesses, le dos et le haut des cuisses. Elle voudrait crier, mais elle se retient, et se raidit pour mieux supporter cet ouragan de morsures ; elle ferme les poings et pleure.
L’homme la retourne. Son visage est triste, il lui parle et lui essuie du bout du pouce les larmes qui coulent le long de ses joues. Il lui tapote la joue puis lui dépose un doux baiser sur les lèvres ; elle sourit à nouveau. Il lui parle encore en redessinant du bout des doigts ses seins et ses tablettes de chocolat. Il joue avec ses piercings fraîchement posés et tire légèrement dessus ; elle a retrouvé le sourire, et maintenant elle rit. Il passe sa main dans son entrejambe, elle se mordille les lèvres, bascule sa tête en arrière comme si elle prenait du plaisir ; visiblement, elle en prend, car tout son corps ondule doucement. Il lui parle, elle acquiesce, alors il reprend le fouet, reprend et répète le même scénario cinq fois ; à la dernière question, elle fait un non de la tête.
L’homme pose le fouet, passe sa main dans son entrejambe et la garde immobile ; de l’autre, il joue à nouveau avec ses piercings, puis prend un fouet long et fin identique à ceux utilisés pour l’autre homme.
Bob ne comprend rien à ce manège, il se demande même ce qu’ils peuvent se raconter pour passer ainsi du rire aux larmes puis à nouveau aux rires. Il observe le comportement de Sonia qui une fois de plus l’étonne, il se demande comment peut-elle faire pour résister ainsi à la douleur, et surtout ...
... sans crier ; à l’inverse de son prédécesseur qui lui, a presque hurlé.
Cette fois, l’homme fait claquer le fouet au sol, et le bruit fait sursauter l’assemblée y compris Sonia ; puis il le lance. Dans un sifflement aigu, la longue lanière s’enroule autour du buste de Sonia et l’extrémité vient claquer ses seins. Puis c’est au tour de ses cuisses, de son ventre, de son dos et de ses fesses en laissant dans un claquement sec des traces rougeâtres. À chaque coup, elle commence à onduler dans tous les sens ; Bob ne sait pas si c’est de plaisir ou de douleur.
L’homme parle à nouveau à Sonia en palpant tout son corps comme s’il voulait tester la température en surface, elle acquiesce à nouveau. Il pose le fouet, décroche et laisse couler la corde qui la suspend au plafond, libère ses poignets, lui caresse la joue, lui attrape les tétons qu’il serre entre pouce et index ; elle se plie en deux de douleur. Il lâche, et elle se redresse en riant. Puis il lui pulvérise un produit à la douce odeur d’arnica sur tout le corps, et telle une princesse qu’il conduirait au bal ; il la raccompagne vers Bob.
— Ça va Sonia ? denmande le sergent.
— Ça va, mais il m’a fait vachement mal ; je dois avoir des marques partout.
— C’est vrai, et je trouve cela assez sexy...
— Non, mais tu plaisantes ! ... Attends tout à l’heure ; tu vas voir ce que je vais te mettre.
— Mais non, je te chahutais ; en tout cas, je te tire mon chapeau pour ton courage. J’ai même eu l’impression que tu y ...