1. La déchéance d'une bourgeoise


    Datte: 03/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... me pénétrer la chatte. Colette maltraitait mes seins en cadence, dès que j'essayais de me soustraire à sa chatte pour reprendre ma respiration. Son odeur forte m'emplissait les narines. Elle s'est mise à s'agiter de plus en plus, avant de s'abandonner à un orgasme bruyant. Elle m'inonda littéralement, et je me rappelait à cet instant qu'elle m'avait dit être une femme fontaine.
    
    Malgré moi, sous le rythme effréné de Paul, je partis dans un nouvel orgasme dévastateur, qui faisait de moi une simple femelle en chaleur, bien loin de l'image de bourgeoise respectable que j'ai toujours voulu donner de moi.
    
    Mais Paul ne se fatiguait pas. A peine avais-je fini de jouir qu'il m'a relevée les jambe un peu plus haut pour positionner son sexe à l'entrée de mon cul.
    
    - mon désir était soudain retombé après l'orgasme et je me débattais comme je pouvais pour éviter la pénétration annale que j'avais de tout temps refusé.
    
    - Non Paul, pas ça !!!
    
    - Qu'est ce que j'ai en échange
    
    - ... Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
    
    - OK.Si Je te laisse partir s'en t'enculer, je veux qu'en échange, tu renonces au licenciements et baisses de salaires.
    
    - Tu veux faire couler la boite ?
    
    - Non, je veux que tu la revendes à notre concurrent. Lui saura investir et préserver l'emploi.
    
    - Il a proposé un prix trop bas !
    
    - Alors tant pis pour toi... Colette, sors ton smartphone, on va faire une sex tape !
    
    - Salaud... je t'en supplie.
    
    Colette a commencé à filmer la scène, enfin ...
    ... surtout moi, dépoitraillées, le visage ravagé par mes 2 précédents orgasmes, alors que je continuai de supplier Paul d'arrêter. Mes ses bras puissants m'empêchaient d'échapper à son désir de m'enculer.
    
    La pénétration fut lente et d'autant plus douloureuse que j'étais contractée et réfractaire. Colette filmait en gros plan, survolant mon corps de mon sexe encore béant à mon visage. C'était ma première sodomie. Les larmes coulèrent sur mon visage. Paul avait commencé un va et vient très lent. Mon cerveau se représentait en même temps l'image de ce sexe m'ouvrant le cul. La sensation au delà de la douleur qui commençait à s'atténuer, était dérangeante, humiliante. J'aurais voulu me déconnecter, ne plus y penser, juste attendre que ça se passe. Mais Paul ne l'entendait pas de cette façon. Il savait ce qu'il faisait. Il savait que sa patience paierait. Il savait qu'en mettant une main sur mon sexe, il réveillerait le démon à peine endormi. Collette ne perdait rien du spectacle en enregistrant chaque détail. Le rictus de douleur sur mon visage s'effaçait, laissait place à celui de ma volonté de ne pas céder aux sensations. Mais quand on est une femme comme moi, qui n'arrive pas à dompter son corps, une femme qui trouve une excitation perverse à être humiliée, alors on est perdue d'avance. J'ai commencé à gémir, malgré moi. J'ai commencé à vouloir que ce sexe en moi accélère, bougeant du cul en cadence. J'ai commencé à être cette chienne qu'on voulait faire de moi.
    
    Paul s'est ...
«12...4567»