1. Tanya (Chap 1 & 2)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, photofilm, nopéné, sm, Auteur: Azkinato, Source: Revebebe

    ... que pour les fleurs, j’étais encore de la vieille école qui conseillait lorsque l’on était invité, et de ne pas venir les mains vides.
    
    C’est vrai que je devais avoir une bonne dizaine d’années de plus qu’elle, et que ceux de son âge ne pratiquaient guère plus ce genre de traditions.
    
    Au cours du repas, j’en appris un peu plus sur elle. Elle avait emménagé ici, chez son copain, il y avait deux mois. Celui-ci était militaire, et en campagne en Afrique depuis presqu’autant, il ne devait revenir que dans quatre mois.
    
    Elle avait 21 ans, était caissière depuis une semaine dans un supermarché non loin de là, et ne connaissait personne. Elle trouvait ses soirées bien longues.
    
    Avant de partir, comme elle m’avait trouvé « super sympa », elle me proposa de venir boire un verre le lendemain soir.
    
    Depuis ce jour-là, c’est presque tous les jours que le lui rendais visite. Nous avions vite sympathisé, et j’avais adopté le tutoiement depuis longtemps. De son côté, même si elle m’appelait par mon prénom, et malgré mon insistance, elle continuait à me vouvoyer.
    
    Au fil des jours, nos conversations déviaient assez souvent sur la sexualité, même si c’était sur le ton de la plaisanterie.
    
    — Vous ne m’avez jamais invité chez vous, me dit-elle.
    — Tu sais, je suis un vieux loup solitaire, et les seules personnes qui sont venues, sont mes anciennes amies.
    
    Elle s’étonna de ce que je n’aie pas de petite amie.
    
    — À mon âge, j’ai une sexualité un peu particulière, lui ...
    ... répondis-je du tac au tac. Et peu de femmes apprécient mes désirs.
    
    J’avais piqué sa curiosité, et elle voulait en savoir plus. Pour l’intriguer davantage, je lui dis simplement.
    
    — En général, soit on apprécie tout de suite, soit on part en me traitant de malade ou de pervers. Mais si on aime, la sexualité plus classique paraît très vite bien fade.
    
    Ne trouvant pas que j’aie l’air d’un obsédé ou d’un vicieux, elle voulait tout savoir sur cette « sexualité particulière. ». De mon côté, je trouvais qu’elle était encore bien jeune pour s’intéresser au domaine SM. J’ai trouvé une excuse bidon pour partir immédiatement.
    
    Le jour suivant, elle relança la conversation sur mes petites habitudes sexuelles qui pourraient choquer. Une nouvelle fois, je changeai de conversation.
    
    Au fil de nos rencontres, plus elle voulait savoir, plus je trouvais un motif ou une excuse pour ne pas en parler. La seule chose que j’ai lâchée par mégarde fut :
    
    — J’aime que les filles fassent ce que je leur demande, sans se poser de question.
    — Et c’est si choquant que cela ? répliqua-t-elle. J’aimerais que vous m’invitiez chez vous.
    
    Lassée de ne pas obtenir de réponses à ses questions, et que je refuse de la faire venir chez moi, elle me lança un ultimatum :
    
    — Si vous ne m’invitez pas chez vous, je ne vous parlerai plus, et vous ne viendrez plus ici.
    
    J’aimais bien nos rencontres, qui nous permettaient de deviser sur toute sorte de sujets, et pas uniquement de sexe. Elle me plaisait beaucoup, ...
«1234...»