scenario imaginaire a realiser 3
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: andred_j, Source: xHamster
... avec vos bas… il a bon goût André »
Elle gloussa d’aise sous le compliment : « merci , vous êtes un flatteur »
« non, non, c’est sincère, vous êtes magnifiques avec ces escarpins »
Le ton était donné… la « vraie » soirée allait pouvoir commencer.
Là, je fus « bluffé » par Patou : lui et moi avions un peu peur de cet aspect « scénario construit » qui aurait pu faire rater la soirée. En « vrai » maître de cérémonie de ce « pseudo » gain d’une soirée, il nous convia vers une table ronde à trois couverts dressée pour nous : « voici votre table »… s’installant négligemment avec nous deux. [Pour ma femme, « vu que c’était cadeau », rien ne lui parut anormal et elle se laissa aisément guider… y compris la superbe « main (gauche)au cul » que lui mit Patou juste avant qu’elle s’installe sur sa chaise, caressant longuement ses fesses et aussi la main(droite) paluchant ostensiblement et de manière appuyée sa poitrine par-dessous son soutif… Alors que je surveillais du coin de l’œil, je vis avec plaisir qu’elle ne broncha pas… au contraire, qu’elle eut l’air d’apprécier ces attouchements ciblés].
Du coup, Patou fut rassuré et put constater que la chaude alcoolisation modérée avait bien mis ma femme en condition et la rendait réceptive, plus que docile -demandeuse-, aux situations érotiques.
Tout au ...
... long du repas gastronomique (fort bon ma foi ! j’avais assuré !) des dizaines d’occases d’enfoncer le clou de l’érotisation de la soirée ont été exploitées par Patou et relayées par ma Jeannine émoustillé qui se prêtait au jeu de plus en plus sans retenue. Evidemment, il y eut des contacts de pieds [Patou me dit lors du « debriefing » que ma femme s’était déchaussée et avait caressé ses jambes et que même elle avait remonté un de ses pieds qui s’était posé sur sa bite bandée dans son pantalon, qu’elle avait longuement massé sa queue ainsi avec ses pieds en bas tout en le regardant intensément dans les yeux, au fur et à mesure où elle sentait sa queue grossir].
Je percevais bien certaines de ces avancées… j’arrivais même à faire quelques images, mais surtout je contemplais les visages de Jeannine et de Patou pour bien « mesurer » à quel point notre scénario avançait et à quel point ma femme était « en condition ».
Aussi, quand la fin du repas arriva, le maître d’hôtel (drivé par Patou) vint, d’une manière tout à fait naturelle, nous proposer de nous servir café, digestif et mignardises à la table ou dans un salon ou même dans notre chambre. Patou et moi, hésitions quant à la réponse lorsque ma femme, quelque peu gagnée par l’alcool, répondit : « heuf, je suis un peu fatiguée… dans la chambre ce sera mieux »