1. UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE
    
    Là il n'y avait aucun risque que je résiste. J'avais attendu, espéré ça depuis des mois … D'accord je ne connais Étienne que depuis cinq ou six jours mais je l'avait attendu toute ma vie … Ouai bon ça fait cinq jours que j'en rêve mais c'est déjà beaucoup. J'ai pas l'habitude qu'on me fasse attendre si longtemps moi … Et puis il faut dire qu'il était bien Étienne, vraiment bien, canon, un vrai dieux Grec de l’Égypte antique … Rien que ça !
    
    Je le laissais m'attirer à lui et je lui simplifiais le travail, il n'avait pas besoin de tirer bien fort, je me rapprochais rapidement de lui et il ne nous fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve chacun enlacé dans les bras de l'autre.
    
    Je sentais enfin son corps, ses muscles, sa force et sa douceur également. On s'embrassait, je savais que ma sœur allait me transformer en viande hachée avant de m'engueuler grave mais je peux vous garantir qu'à cet instant je m'en moquais complètement. Je goûtais enfin à la saveur de ses lèvres, de sa peau et à la chaleur de sa peau. La petite toison qui le recouvrait faisait un peu velcro avec la petite toison que je porte, et dans le noir je voyais les étincelles qui s'en dégageaient. Je les voyais même les yeux fermés.
    
    On roulait l'un sur l'autre, il se retrouvait sur moi et je sentais son poids qui m'écrasait avec tendresse et douceur, il m'embrassait dans le cou, sur le torse, je lui caressais les cheveux. Je sentais ...
    ... ses lèvres qui se promenaient sur ma peau, je sentais sa langue qui me chatouillait et j'en redemandais. Il me caressait la queue, je bandais comme un fou.
    
    On faisait encore un tour et je me retrouvais sur lui, je l'écrasais de tout mon poids mais sans inquiétude, je ne suis pas bien lourd et il est très costaud. Je l'embrassais à mon tour sur les épaules, je lui mordillais les tétons et lui caressais le torse ainsi que la bite. Il me massait les fesses. Il bandait encore plus que moi mais surtout c'était un peu plus gros.
    
    De nouveau il était sur moi et me mordillait le corps en descendant la tête vers le bas de mon ventre. Je sentais ses dents qui parcouraient mon corps avec douceur et je réagissais à chaque contact. Puis il rentrait les dents au moment ou il promenait sa langue sur mon gland. Il me masturbait avec lenteur d'une main et de la bouche me suçait la queue. Je pouvais constater qu'il avait commencé jeune et qu'il avait de l’entraînement, rapidement il la suçait jusqu'à sa base. Je lui caressais les cheveux et les épaules, mes mains ne pouvaient pas descendre plus bas, j'avais envie de lui caresser le dos, les fesses mais mes bras étaient trop courts. Je relevais le torse et mes mains descendaient plus bas, jusqu'au milieu de son dos, je parvenais à lui caresser les reins et j'admirais ses fesses magnifiques que je pouvais enfin admirer de prêt. Je n'appuyais pas sur sa tête, je le laissais faire.
    
    Il relevait le visage et me regardait, il me faisait un ...
«1234...»