1. COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/5)


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... semble que, plus on le fait et plus j’aime le faire, je commence à prendre goût à mon homme des forêts africaines.
    
    Je me demande comment je vais faire pour retrouver la petite bite de mon mari.
    
    Si j’acceptais de les prendre tous les deux en double vaginal, ils seraient loin du diamètre qui en ce moment me donne orgasme sur orgasmes.
    
    Je suis devenue folle, je pense bite noire et je pense double péné avec les hommes qui m’ont trahie.
    
    En sueur, crasseuse avec ce que mon corps a ramassé du matelas, je m’endors dans ses bras plus que virils.
    
    Dans la soirée il descend chercher le saucisson, seule nourriture qu’il ait à manger.
    
    Qui dort dîne, mais qui baise à faim.
    
    C’est l’estomac dans les talons que je me réveille habituée à me lever de bonne heure.
    
    Je récupère ma robe avec la tache qui a doublé et qui est froissée plus que de raison.
    
    Le plus grave c’est que les couleurs ont déteint et sont complètement délavées.
    
    Je me galvanise, je vais à ma boulangerie à mi parcours des deux maisons.
    
    Ma boulangère me regarde comme une martienne sortie du fond de sa galaxie, car elle m’a toujours vu tirée à quatre épingles en allant à mon cabinet où je suis orthophoniste.
    
    Mes croissants tout chauds en main, avec deux gobelets de ...
    ... café, je retourne dans le bon sens et je rejoins la cuisine de Yemba.
    
    Lorsque j’entre, il semble si content que je revienne qu’il me serre dans ses bras, écrasant les gobelets de café qui giclent sur ma robe, la massacrant définitivement.
    
    Il me prend les croissants des mains et les pose sur la table.
    
    - J’ai eu peur que tu ne sois partie retrouver ta lopette de mari.
    
    Il m’assoit sur la table, soulève ma robe ou du moins ce qui en reste constate que mon vagin est à nu.
    
    Il avance sa bouche, avec ses grosses lèvres et sa grande langue.
    
    Pour la première fois il me broute la chatte en s’attardant longuement sur mon clitoris.
    
    Le double effet lèvres et langue me font repartir, mais dans une jouissance plus diffuse que lorsqu’il me prend.
    
    Malgré sa carrure, il me montre toute sa douceur d’homme aimant les femmes, car à aucun moment, il ne pense à lui et s’occupe de mon seul plaisir.
    
    Quand il juge que j’ai assez joui, il se relève, s’assoit sur la chaise et je me rassieds sur ses genoux.
    
    Je me garde bien de bouger, je me rappelle qu’il faut éviter de la réveiller.
    
    Les croissants dévorés, le peu de café restant avalé, il me relève.
    
    - Viens, suis-moi, emmène-moi chez toi…
    
    Corrigé avec la bienveillance d’Anne ma muse. 
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