Heureux
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fhh,
fplusag,
extracon,
cocus,
grossexe,
parking,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
couplea3,
cocucont,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... pointe des pieds pour l’embrasser. Il quitte sa réserve pour la prendre à pleine bouche et lui fourrer sa langue bien profond. Sa serviette est rapidement ôtée par Sandrine.
À l’entrée on nous a donné à chacun une petite pochette contenant la clé de notre vestiaire, un préservatif et une pochette de gel. Sandrine ouvre la pochette, en sort la capote, déchire l’emballage, tout cela sans un mot, prend la capote dans sa bouche, et se dirige vers la queue du jeune qu’elle entre guidée par sa langue et sa main, pour tout à la fois lui poser le préservatif, et le sucer un peu.
Puis elle se relève, se retourne, pose ses mains sur la porte, tend ses fesses, et tourne la tête vers le jeune. Il ne se fait pas prier, se positionne derrière elle, plie ses genoux, guide sa queue entre les cuisses de ma douce et s’apprête à la baiser. Sandrine se cambre encore d’avantage et recule son cul au contact de cette bite. Elle veut de la queue. Tout de suite. Le jeune l’attrape par les seins et se déchaîne, la baise profond, lui claque les fesses, la soulève tellement il bourrine comme un âne. Sandrine jouit et jouit encore. Il est endurant, le bougre. Il a dû se branler dans le hammam pour ne pas cracher plus vite. Je vois les images de ma Sandrine défoncée par tous les miroirs de la pièce, les plafonds et les murs, à un tel point que je ne sais plus où est l’original et où sont les reflets. Je suis dans une pièce remplie de Sandrine et de bites furieuses. Je me vois également, la queue à ...
... la main, m’astiquant frénétiquement. J’avais tout vécu, mais pas ça, pas le summum de la baise. C’est fait. C’est cette baise-là que je voulais, avec un anonyme avec lequel on ne discute même pas, une queue ambulante utilisée pour notre seul plaisir.
Sandrine s’est allongée sur le dos, a tendu sa main vers son amant l’invitant à la rejoindre. Elle le caresse, l’embrasse, mais pas un mot. Le gaillard reprend petit à petit de la vigueur. Je continue de chercher les reflets dans les miroirs, voyant partout ma Sandrine câline, ma Sandrine femme, ma Sandrine salope. Il s’invite entre ses cuisses, la pilonne consciencieusement, lui soulève les fesses pour les écarter, s’enfonce tant qu’il peut, tamponne à outrance. Sandrine jouit à nouveau, regardant son propre reflet rendu par le miroir du plafond. Qu’elle est belle quand elle jouit !
Nous rentrons exténués à la maison mais heureux. Je ne connaissais pas cette Sandrine-là. Je n’en avais même pas rêvé. À peine rentrés, elle se love dans mes bras, ouvre mon pantalon, me suce avec gourmandise, et je la baise tout debout. Nous jouissons à l’unisson, riant de notre débauche, nous délectant de nos crapuleries.
— Mon amour, je n’imaginais même pas que nous puissions en arriver là. Je pensais que tu reculerais.
— Tu sais, mon amour, ce que nous venons de faire m’a remplie de bonheur. Avec mon ex-mari, au lit, ce n’était pas terrible. Alors j’allais voir ailleurs. Il était cocu mais il l’ignorait.
— Ah tu ne m’avais jamais dis-ça ...