1. L'enfoutreur (3)


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... argument à présenter pour leur défense, chacune ayant bien compris que, si elle se récriait, elle serait démentie dans l’instant par l’un de ses amants présents sur place. Chaque mari fit asseoir son épouse fort galamment et dès qu’elles furent dans les fauteuils, chacun sortit une paire de menottes de sa poche. Elles se retrouvèrent attachées à l’accoudoir avant d’avoir dit quoi que ce soit.
    
    — Maintenant cher ami, voulez-vous monter sur le lieu de l’exécution et montrer à ces dames les dimensions généreuses de votre pénis.
    
    — Certes.
    
    Je me déshabillai donc. Les femmes ne pipèrent mot mais les hommes reconnurent que j’étais calibré comme un âne.
    
    — Allez chercher Madame dit le châtelain à un des domestiques... mais surtout ne me la baisez pas en route !
    
    — Bien monsieur.
    
    — Je vous demande le plus complet silence. Dans un premier temps ma femme ignorera que vous êtes là. Au moment voulu nous lui enlèverons sa cagoule.
    
    Quelques instants après le domestique entra. Il tenait la femme en laisse par le cou.
    
    Elle était entièrement nue et cagoulée de sorte qu’on ne voyait que sa bouche. Ses mains étaient attachées dans le dos. Elle portait des pinces sur ses tétons. Ses seins étaient gros et fermes.
    
    Son pubis était entretenu et sa toison formait un triangle brun parfait.
    
    Elle marchait fière, consciente de sa beauté, sur des chaussures à talon.
    
    — Merci Syméon ! Montez ma chère, montez. Dit son mari en la conduisant par la main. J’ai une surprise pour ...
    ... vous
    
    — Quelle est-elle ?
    
    — A vous cher ami... Ma chère, voici l’enfoutreur. Il appuya sur le mot.
    
    Je m’approchai d’elle, la queue tendue et l’effleurai d’abord de mes doigts puis de l’extrémité de ma bite avant de me coller dans son dos et de tirer lentement sur les pinces à tétons.
    
    — Ah mon dieu, fit-elle... Elle est énorme !
    
    — Enorme ma chère, énorme... je n’en ai pas trouvé de plus grosse... profitez en bien !
    
    — Pas ici, pas sous vos yeux.
    
    — Cocu pour être cocu, autant que j’y participe un peu... D’habitude vous n’avez pas de scrupules pour vous faire sauter ce me semble...
    
    — Oh, que dites-vous là ! ajouta-t-elle d’un dont où il y avait plus une légère provocation qu’une réelle indignation.
    
    — Mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises.
    
    — Vraiment ?
    
    — Vous verrez.
    
    Pendant ce dialogue, j’avais exploré des mains ce corps sublime. Puis je lui murmurai : "suce-moi"
    
    Elle pivota, se mit à genoux et chercha ma queue. Son mari s’était déboutonné et branlait lentement une bite de taille moyenne ; Un rapide coup d’œil autour me fit voir que tous les gars bandaient sous leur costard. Les femmes baissaient les yeux tout en se dandinant sur leur fauteuil... de jalousie ou d’impatience, ou les deux ?
    
    Je détachai les mains de Maguelonne, ainsi s’appelait-elle, pour qu’elle pût me branler tout en me pompant l’extrémité du dard.
    
    — Alors qu’en dites-vous Madame ? demanda son mari.
    
    — Exceptionnel Monsieur, exceptionnel. Long, épais, dessiné, ...
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