1. Confession d'un homme perdu (3)


    Datte: 02/09/2019, Catégories: Gay Auteur: Vannick, Source: Xstory

    ... attendant 22 heures. Je décide que je porterai la robe bleue (bien entendu), les collants jarretelle, la paire d’escarpin et la culotte rouge : je fais une très belle femme à barbe.
    
    22 heures arrivent, je suis nerveux à attendre que la sonnette retentisse.
    
    22 heures 05, toujours rien et je commence à penser qu’il m’a posé un lapin.
    
    22 heures 10, je me sens ridicule et suis presque certain qu’il ne viendra pas.
    
    22 heures 14, j’entends la sonnette et c’est avec un peu de précipitation que j’appuie sur l’ouverture à distance, lui précise que l’appartement est au second étage, mais l’entrée au 1er et que je descends à l’entrée.
    
    Il frappe à la porte et je lui ouvre. Autant Perrin avait été choisi pour la taille raisonnable de sa queue, autant j’avais choisi Marco59 pour son physique assez athlétique et tonique, et les photos étaient conformes à la réalité…
    
    Je le fais entrer et passe derrière lui en lui indiquant que le salon est juste au bout du couloir à l’étage. Durant cette montée des marches, j’admire sa carrure d’épaules et ses fesses, et me maudis d’avoir mis les escarpins, car autant j’arrive à peu près à faire illusion sur un sol plat, autant la montée en haut talons des escaliers se relève un défi à mon sens de l’équilibre.
    
    Arrivés à l’étage, je lui demande s’il veut m’accompagner dans la dégustation d’un Martini pour se détendre un peu, ce qu’il accepte.
    
    Je le fais s’asseoir sur le canapé, et pars servir les Martinis en me déhanchant pour qu’il ...
    ... ait une vue agréable de moi-même de dos.
    
    Je reviens, lui tends son verre, m’agenouille de côté sur le tapis de côté et lui dit ce que Nathalie m’avait dit un jour :
    
    — Oups, j’ai oublié de le mélanger à la cuillère, et la cuisine est trop loin.
    
    Il ne comprend pas jusqu’à ce que je le fasse avancer sur le bord du divan pour pouvoir ouvrir sa braguette, prendre sa queue encore molle (circoncise une première pour moi !) et l’utiliser pour touiller la boisson. Puis après avoir nettoyé la « cuillère » avec la langue, j’ajoute :
    
    — Suis-je bête, il me manque l’olive
    
    Et je trempe l’une de ses couilles dans le verre, le repose sur le sol et gobe sa couille humide en bouche en faisant tourner ma langue tout autour.
    
    Marco59 semble autant apprécier que moi cette façon de préparer le Martini.
    
    Après quelques gorgées de part et d’autre, il me dit
    
    — reprends ma bite dans ta bouche et fais moi bander.
    
    Sans discuter et désormais à genoux entre ses jambes, je lui enlève ses chaussures, fais glisser son pantalon et boxer, il s’occupe seul de sa chemise.
    
    Je prends sa queue en main, la lubrifie avec ma salive et commence à sucer sa demie-molle avec application, tout en massant ses bourses. Très vite son engin durcit entre mes lèvres, et je la sens palpiter sous mes coups de langue. Plus elle gonfle, et plus je me rends compte que même si sa bite n’est pas de la taille de mon nouveau gode, il n’a pas à rougir de la comparaison, et ça devient un défi de réussir à la garder ...
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