La pension de tous les vices (3)
Datte: 01/09/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
LA PENSION DE TOUS LES VICES.
Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos pensionnaires.
Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une trentaine d’années aux mains baladeuses.
Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.
Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur.
Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.
Les demoiselles Jeanne et Sylvie, deux lesbiennes qui ne s’en cachent pas.
Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.
Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un coureur de première.
Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans, pas mal de ma personne.
Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont établis entre les hôtes de la pension.
Mademoiselle Sophie.
Ca fait plusieurs fois que Marc, le cuistot me drague, jusqu’à maintenant je n’ai jamais voulu lui céder.
Je viens de rompre avec mon petit ami que j’ai surpris en galante compagnie et je veux me venger avec le premier mâle venu.
Alors pourquoi-pas avec Marc ? Je vais pouvoir constater si sa réputation n’est pas usurpée.
Je l’ai invité discrètement à me rejoindre dans ma chambre.
Je lui explique que ce n’est que sexuel et lui demande de se débarrasser de son pantalon et de me montrer ce qu’il cache en dessous.
Mais il ne veut pas que ça se passe comme ça, il s’approche de moi et me prend dans ses bras, je sens ...
... sa cuisse droite qui se presse plus étroitement contre mon entrejambe dont la chaleur traverse le fin tissu de la robe. J’ai un gémissement sourd en sentant contre mon ventre une bosse dont la présence m’émeut.
Il soupire sous la poussée de son désir, mordille mes lèvres tendues, effleure la peau satinée d’une joue, embrasse une oreille et me murmure.
— Comme vous avez la peau douce.
Il me ferme la bouche d’un long baiser tout en étreignant des deux mains ma poitrine orgueilleuse…
Je gémis un peu, il me pousse doucement sur le lit et se couche complètement sur moi, frottant sa braguette tendue contre mon pubis…
Il me caresse tendrement, laissant errer sa bouche sur mes seins, à même le voile de la robe, il sent la dentelle de mon soutien-gorge.
Sa main se pose sur une cuisse nue à la chair tendre, et remonte peu à peu, sentant mon corps se raidir.
Ses doigt glissent sur le slip, s’introduisent hardiment sous l’élastique, trouvent mes poils pubiens. Un doigt insistant écarte doucement mes lèvres serrées sur la vulve qui suinte peu à peu.
Je suis attentive à la lente montée de mon désir tandis qu’un doigt habile fait vibrer mon tendre bourgeon qui s’érige sous la caresse.
Il frôle de nouveau ma vulve bombée puis enfonce brusquement son doigt dans mon vagin humide, je cambre les reins. Je l’encourage :
-Oui … Oui… Continue !
D’un geste prompt, il dégrafe sa braguette dégageant son sexe à peine gonflé. Sa main écarte doucement mon slip et d’une ...