1. Tromper ou être trompée


    Datte: 01/09/2019, Catégories: fh, extracon, copains, Collègues / Travail amourcach, extraconj, Auteur: Toubab_7, Source: Revebebe

    ... queue. Je le suce quand l’envie m’en prend. J’offre ma poitrine afin qu’il y déverse sa semence.
    
    Avec Karim, je deviens chienne. Il me rend folle et me met dans des états pas possibles. Dès le premier soir, quand il m’a pénétrée pour la première fois, j’ai joui comme rarement. Pourtant, son sexe n’a rien d’exceptionnel. Moins long que celui de mon mari, c’est certain. Bien plus large, c’est sûr aussi. Mais c’est comme si mon fourreau avait enfin trouvé l’épée pour laquelle il a été forgé. Et puis cette façon qu’il a de s’en servir. Son déhanché, son coup de rein qui peut être aussi bien langueur qu’ardeur, voire fureur. Je prends tellement mon pied que j’en oublie tout, tous mes tabous. Jamais je n’avais dit à un homme de venir me "baiser" ni de me "bourrer", jamais je n’aurais imaginé gémir de plaisir en sentant mon partenaire jouir sur mon visage, jamais je n’aurais pensé laisser à nouveau un phallus pénétrer mon anus.
    
    ***
    
    Je devrais avoir honte mais n’y arrive pas. Mon mari est au travail, les enfants à l’école, et moi je suis dans la chambre de mon amant. Assise sur son lit. Sur son vît. Ses yeux dans mes yeux. Son pouce à l’entrée de ma grotte. Son membre au plus profond de ma plus sombre profondeur.
    
    Je me suis empalée en une longue, lente et douce poussée. Il ne bouge pas et, pourtant, même immobile, il me procure des sensations infernales. J’ai l’impression de sentir le sang affluer dans sa queue. Mon ventre est en feu. Et la boule de plaisir qui y loge ...
    ... ne cesse de grossir et d’irradier mon corps. Une seule ondulation du bassin suffit à me transporter à deux doigts de l’orgasme. Je suis tiraillée entre l’envie de faire durer et celle d’exploser de suite. J’essaie un mouvement de va-et-vient. C’est terrible, délicieux, fantastique, merveilleux… Je recommence et c’est encore mieux, encore plus fort. Karim pose ses mains sur mes seins et ça suffit à m’électriser d’avantage. Oui, c’est ça : je suis électrique. Je suis le cœur d’un réacteur nucléaire en pleine fusion. Toutes mes particules s’agitent. La pression devient énorme. Mes cris sont une soupape insuffisante… ça vient, ça monte, ça enfle, ça… Boum ! Bang ! Re-Boum !
    
    Mon cœur bat à cent à l’heure. Je peine à retrouver mon souffle et mes esprits. Un regard à Karim. Il est encore tout surpris de ce à quoi il vient d’assister. Tellement surpris que ça l’a coupé net dans son élan. Lui n’a pas joui. Son outil s’est rabougri. Il mérite une récompense pour sa contribution à ma déflagration. Je glisse le long de son ventre, le débarrasse du préservatif et je le déguste avec la certitude que, dans quelques minutes, je vais le boire. Jusqu’à présent, je m’y étais refusée, réservant cela à mon mari, comme un dernier bastion de fidélité. Mais là, j’en ai envie. Et je le lui dis. Et je suce, pompe, lèche, aspire. Encore et encore. Jusqu’à sentir son corps se tendre, son sexe se contracter et son sperme jaillir.
    
    Deux heures plus tard, encore pas tout à fait remise, je rentre chez ...
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