1. Mad (19)


    Datte: 01/09/2019, Catégories: Trash, Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... volets de la chambre. Vu l’intensité, le soleil doit être levé depuis un petit moment. Mais rien ne sert de se presser aujourd’hui : il n’y a rien de prévu. Et puis il a encore sommeil, alors autant suivre le conseil qu’il a donné à sa fille et se rendormir. Il se rallonge.
    
    Fanny réagit au quart de tour et vient se coller à lui.
    
    — Attends ! lâche-t-il trop tard.
    
    La partie érotique de son précédent rêve a en effet réveillé ses ardeurs : Jyrall a le sexe bandé, sexe contre lequel Fanny vient de plaquer ses fesses. Elle lâche un « Oh… » de surprise. Mal à l’aise qu’elle le découvre dans cet état, Stéphane tente de bredouiller une excuse.
    
    — Ce n’est rien, papa, veut-elle le rassurer. Cela ne me dérange pas. Prends-moi dans tes bras, s’il te plaît.
    
    Non, avoir son sexe bandé le long du cul de sa fille, Jyrall ne peut accepter cela. Il tente de se décoller mais Fanny ne lui laisse pas le choix et se colle de nouveau à lui, puis elle lui prend la main, la colle sur un de ses seins et frotte son séant le long de son père.
    
    — Vas-y, papa, tu peux y aller, je ne dirai rien. Je serai ta petite fille sage. Je te laisserai me faire tout ce que tu veux. Je réaliserai tous tes désirs.
    
    Réaliser tous ses désirs ? Voilà la troisième fois qu’elle lui fait une telle proposition ; c’était donc cela qu’elle avait en tête ? Jyrall est soudain pris de nausée. Comment la chair de sa chair a-t-elle pu s’imaginer qu’il était prêt d’exiger cela d’elle ? Qu’a-t-il pu faire de mal ...
    ... pour qu’elle croie qu’il était ce genre de père irresponsable, égoïste et odieux ? Il la repousse d’un coup ; il doit mettre fin à cette folie sur le champ !
    
    — Arrête ça tout de suite, Fanny ! Je ne suis pas ce genre d’homme.
    
    Il se lève du lit et recule de plusieurs pas en manquant de trébucher à cause du pied de son bureau. Fanny se redresse dans le lit. L’expression qui anime ses yeux, son père ne l’a jamais lue. Elle est comme possédée.
    
    — Allons, papa, je sais bien que tu en as envie. Tu me mentirais si tu disais le contraire. Maman est partie depuis longtemps maintenant et tu ne t’es jamais remarié. Depuis combien de temps une femme ne t’a-t-elle pas donné du plaisir ? Tu mérites de jouir toi aussi. Je suis ta fille et je t’aime. Je peux faire ça pour toi...
    
    — Tais-toi ! Tu es folle ! C’est mal, c’est dégoûtant...
    
    — Pourquoi ? Laisse donc la morale au commun des mortels. Nous sommes différents, toi et moi : nous sommes plus forts qu’eux, nous pouvons nous affranchir de ces règles inutiles. Je suis prête, papa ; je ferai tout ce que tu voudras : je te sucerai, j’avalerai, et tu me baiseras et enculeras encore et encore. Je serai ton jouet. Je l’ai déjà fait ; je saurai comment faire...
    
    Non ! Non ! NON ! Jyrall ne veut pas entendre ces horreurs sortir de la bouche de sa petite Fanny. Elle n’était encore qu’une enfant il n’y a pas si longtemps de ça, et voilà maintenant qu’elle lui propose les pires lubricités !
    
    — Je sais que tu as souffert, mon cœur, avec ...
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