Le popaul à Paul
Datte: 01/09/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
médical,
handicap,
bizarre,
neuneu,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
fdanus,
jouet,
confession,
attirautr,
Auteur: 12apin, Source: Revebebe
... contact avec sa bite.
J’essaie toujours de retirer la ventouse mais je suis prise d’assaut par les doigts de Paul. Alors je fais basculer mon bassin d’avant en arrière afin de repousser les attaques, mais ça a pour effet de me mettre en chaleur à cause du frottement de ma vulve contre son manche. Je ne sais pas pourquoi je soulève mon bassin pendant quelques secondes, mais ça suffit à Paul pour décaler ma culotte, et quand je me rassieds, je me retrouve avec un doigt dans le cul.
J’accélère mes mouvements de bassin ; Paul se met à grogner, et je tire un grand coup sur la ventouse. Elle se détache. À cause de l’élan, je perds mon équilibre ; je sens que Paul essaie de me rattraper par ma culotte, mais elle glisse le long de mes cuisses et ma tête se retrouve aux pieds de Paul.
Affalée par terre, je sens Paul donner des coups de reins ; au moment où son gland entre en contact avec ma vulve, il éjacule. Les jets sont si violents que du sperme entre dans mon intimité. Je me mets à genoux mais sa bite est toujours sous ma robe, entre mes cuisses. Il éjacule sur mon ventre, je sens que ça monte jusqu’à ma poitrine. Je mets mes mains pour essayer d’arrêter l’éjaculation comme si ...
... c’était une simple fuite d’eau, mais cela donne l’effet inverse : le contact de mes mains sur son gland lui fait cracher ses derniers gros jets, et j’en reçois sur mon visage, plus exactement au coin de mon nez.
Après plusieurs minutes et toujours dans la même position au-dessus de Paul, le sperme qui était sur mon visage coule sur mes lèvres. D’un coup de langue, je lèche tout ce qui coule ; je me dis que c’est bon, que j’en veux plus. Je regarde Paul, couché par terre, qui tombe de sommeil. Je me lève et m’arrange du mieux que je peux, mais je reste gluante, puis je rhabille Paul de son bleu et je l’emmène à la voiture. Avant de partir, je retourne chercher ses affaires. À mon retour à la voiture, il dort comme un bébé. Je dépose les clés chez la voisine ; j’ai honte de me présenter tout gluante avec une forte odeur de sperme. Elle me fait un grand sourire et m’offre une boîte ressemblant à celle que j’ai trouvée dans la trousse à pharmacie.
Après avoir déposé Paul, je rentre chez moi. La nuit qui s’ensuit est partagée entre la réflexion et le plaisir que me procure le cadeau de la voisine.
Le lendemain, je donne ma démission : revoir Paul et sa bite ferait de moi une débauchée.