1. UN BEAU GESTE


    Datte: 01/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... agaceries autour et sur mon gland, elle m’emboucha d’un coup et m’enfonça au plus profond de sa gorge à plusieurs reprises, ressortant à chaque fois en tétant mon gland. Elle descendit en léchant mon mandrin et, arrivée à la base, goba mes couilles d’une puissante aspiration , ses lèvres jouant avec mes boules à l’intérieur de leurs sacs de peau.. Pour finir, elle me serra avec ses lèvres et coulissa de plus en plus vite, jusqu’à ce que je sente une brûlure vive partir de mon périnée et remonter dans mes couilles puis tout au long de ma queues, qui expulsa ce trop plein de désir ne plusieurs salves, tandis que Claire, continuait de pomper et déglutissait, avalant tout ce que j’envoyais. Elle continua jusqu’à ce que mon sexe repu, perde sa raideur, et s’essuya avec un mouchoir tiré de son sac-à-main.
    
    De nouveau blottie contre moi, elle interrogea
    
    « Tu as aimé ? »
    
    « On aurait dit une vraie pro. Tu fais ça souvent ? »
    
    « En fait une copine m’a appris, sur un concombre. Il paraît que les mecs adorent ça. »
    
    « Je te confirme » dis-je à mi-voix « ta copine doit avoir de l’expérience. »
    
    « Oui, sauf que le concombre est plus gros, mais il ne lâche pas autant de jus. C’est la première fois que j’avale. J’ai failli m’étouffer. »
    
    « Tu sais, si tu n’aimes pas, ce n’est pas une obligation. »
    
    « Je sais, mais si je ne l’avais pas fait, tu en aurais mis partout. »
    
    Je souris devant cette réflexion, à la fois terre à terre et un peu policée.
    
    Quand la salle se ...
    ... ralluma, nous étions rhabillées et sortimes en nous tenant la main.
    
    C’est toujours difficile quand on est jeune d’avoir une relation avec quelqu’un , pour plusieurs raisons. D’abord, on n’est pas autonome en termes de déplacements (pas de permis). On a pas encore de chez soi. Dans mon cas, j’étais dans une chambre d’hôtel, mais je la partageais avec un autre employé, ET Claire, habitait chez ses parents. Autant dire que rien n’était envisageable de ce côté. Il était bien trop tôt. Nous passâmes donc plusieurs semaines à nous rencontrer pour flirter, à nous caliner, à la limite de la bienséance dans des salles obscure. Je ne me plaignais pas, malgré tout, car au contact de Claire, qui était un peu plus expérimentée que moi, j’avais l’impression d’enrichir mes connaissances . Contrairement à moi, elle avait eu quelques expériences, et savait parfaitement ce qui faisait grimper les hommes au rideau. Oh, ce n’était pas une allumeuse, ou une fille facile, mais elle était réaliste, et même si son côté fleur bleue lui faisait chercher son idéal, elle n’envisageait pas d’avancer avant un essai assez long. De même, alors qu’elle attirait les garçons, comme le miel attire les ours, elle ne se laissait approcher que rarement, et je mesurais ma chance. Une ou deux fois, nous étions allé en discothèque, et elle ne dansait pas exclusivement avec moi, me disant qu’elle ne voulait pas risquer de passer à côté de « l’élu », mais les prétendants se faisaient régulièrement congédier après une ...
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