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Le fantasme de Sophie, femme candauliste (4)
Datte: 01/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pacoouzo, Source: Xstory
Les semaines qui nous séparaient de son anniversaire furent longues. J’eus deux conversations téléphoniques avec Maelis pour régler les derniers détails. Elle me transmit par SMS son certificat médical de dépistage des MST. Sa voix chaude et sensuelle me mettait chaque fois dans tous mes états. Nos ébats avec Franck restèrent réguliers. Nous utilisions presque à chaque fois nos jouets. Je commençais à vraiment prendre du plaisir à la sodomie et à la fellation avec consommation de son sperme. Enfin, nous arrivions à ce fatidique samedi soir qui allait changer notre vie. J’avais préparé un bon repas, pas trop chargé, mis une superbe robe noire très sexy avec un décolleté plongeant et un laçage dans le dos. Cette robe se portait sans soutien-gorge et j’avais acheté un string fendu devant et derrière. Le repas terminé, après le café, je retournais à la cuisine et constatais que Maelis était en attente dans le jardin. Mon excitation monta encore d’un cran. Je sentais mes tétons s’ériger d’un coup et ma chatte s’humidifier. Je dis à mon homme. — Ce soir pour fêter ton anniversaire, je te réserve une petite surprise. Tu sais que j’aime parfois lors des préliminaires que tu me bandes les yeux. Ce soir, c’est toi qui auras le privilège d’avoir les yeux bandés. Tu devras te laisser aller et je te promets de te guider vers des sommets de luxure. — Ton programme m’excite déjà ma chérie. Je serais sage et obéirais à tes demandes. Je lui pris la main et le ...
... guida jusqu’à notre chambre. Je lui bandais les yeux et le fis allonger sur le lit. Je le déshabillais et lui liais les mains à la tête de lit. Je liais ses jambes écartées aux pieds du lit. — Mon cochon, tu as une trique d’enfer. Tu bandes comme un âne. Nous allons prendre beaucoup de plaisir. Joignant les actes à la parole, je commençais à lui lécher les couilles puis son phallus. — Tu m’as avoué avoir aimé voire ma chatte lisse. C’est à mon tour de faire disparaître tous ces poils disgracieux. C’était Maelis qui m’avait suggéré de lui raser le sexe et les bourses. Les sensations, me disait- elle, ne seraient pas les mêmes pour Marc et il ne se rendrait pas compte tout de suite qu’il n’avait pas affaire avec sa femme. — Tu veux me raser la bite ? — Oui mon amour, je veux l’avoir lisse dans ma bouche. — Mais fais attention à ne pas me couper. Je cherchais de quoi le raser et accueillis la belle rousse dans notre demeure. Elle était vêtue d’une superbe minijupe cuir dentelle et d’un body noir dentelle très décolleté, laissant deviner ses magnifiques tétons percés. Elle avait retiré ses chaussures et tenait à la main un grand sac. Elle me confessa discrètement qu’il contenait quelques accessoires. J’étais un peu surprise, mais c’est elle qui allait avoir la main sur la soirée. Je revins dans la chambre avec Maelis qui put pour la première fois admirer mon homme. Un grand sourire vint éclairer son magnifique visage. J’entrepris le rasage avec ...