1. Vacances en camping-car (10)


    Datte: 31/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory

    ... devrais te rhabiller. À mon avis, on va bientôt s’arrêter pour le petit-déjeuner.
    
    — Je pourrais aussi descendre la bite à l’air, non ?
    
    — Ça me déplairait pas...
    
    — C’est vrai ?
    
    Sans qu’elle n’ait le temps de répondre quoi que ce soit, ma bouche repart à l’assaut de son sexe humide que je recommence à laper dans tous les sens. Je sens aussitôt tout le corps de Marion se cambrer sous l’effet de mes coups de langue.
    
    — Arrête, Quentin, il faut que...
    
    — Que quoi ? Je réponds avant de plonger un doigt entre ses lèvres.
    
    — Il faut que... que...
    
    Elle ne peut finir sa phrase car mon doigt vient de se poser sur son clitoris que je prends un malin plaisir à agiter dans tous les sens. Sentant que Marion a encore du mal à ne pas gémir, je lui bâillonne à nouveau la bouche et suce un de ses tétons pendant que je lui fouille le sexe à toute vitesse avec trois doigts. Rapidement, des gouttes de cyprine jaillirent de son antre chaud, et elle me poussa aussitôt la main que je ressortis trempée de son entrejambe.
    
    — T’es infatigable, me dit-elle, essoufflée.
    
    — Je sais, t’as aimé ?
    
    — Oui, j’ai joui une deuxième fois...
    
    — Tant mieux !
    
    Nous nous rhabillons ensuite silencieusement, très contents de cette séance de galipettes que nous venons de partager. Une fois que c’est terminé, nous nous couchons sur le dos, l’un à côté de l’autre, et Marion m’attrape le bras afin de le passer autour d’elle pour pouvoir se blottir confortablement contre moi.
    
    — Tu sais ...
    ... quoi ? Me demande-t-elle après quelques secondes.
    
    — Non ?
    
    — J’ai envie que ce trajet en camping-car ne s’arrête jamais...
    
    — Si seulement...
    
    Nous restons ainsi, silencieux, et nous endormons, paisiblement.
    
    Une heure après, nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute pour prendre le petit-déjeuner. Pendant le repas, notre mère a les yeux rivés sur une carte routière qu’elle étudie scrupuleusement, si bien qu’après quelques minutes, le verdict tombe.
    
    — Nous devrions arriver à la maison demain, en milieu d’après-midi, répond-elle.
    
    Marion et moi faisons semblant d’être contents mais, au fond, ça nous fait plus chier qu’autre chose, car cela marquera probablement la fin de nos aventures. Nous échangeons donc un regard qui en dit long puis, une fois de retour dans la capucine du camping-car et à nouveau sur la route, nous en parlons à mi-voix.
    
    — Ca va ? Me demande Marion.
    
    — Pas vraiment, et toi ?
    
    — Bof...
    
    Elle marqua un silence de quelques secondes avant de reprendre.
    
    — Il faut qu’on parle, décida-t-elle.
    
    — De quoi ?
    
    — De nous. Toi et moi, on s’est bien amusés pendant ces vacances, mais...
    
    — Je sais, il faut plus qu’on recommence.
    
    — Exactement, même si ça va me manquer, beaucoup me manquer, même, mais on a pas le choix.
    
    — Je suis d’accord...
    
    — Donc sans regrets ?
    
    — Si, avec beaucoup de regrets, mais on a pas le choix, comme tu dis...
    
    — C’est vrai...
    
    Nouveau silence de quelques secondes.
    
    — En tout cas, je répète : j’ai ...
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