1. Travaux d'artiste (2/2)


    Datte: 31/08/2019, Catégories: fh, ff, couplus, intermast, Oral fdanus, fsodo, échange, entrecoup, Auteur: Mirthrandir, Source: Revebebe

    ... hanches, sur son abdomen et ses cuisses, lui palpant les fesses de l’autre côté. Elle émit un petit rire lorsqu’elle envoya une de ses menottes sur ma tête pour me triturer les cheveux, et je l’attirai un peu plus vers moi, ma joue posée contre le haut de sa jambe. J’avais le nez tout près du tatouage, et dus loucher pour voir les yeux du dragon, jaunes et bridés.
    
    Mes doigts s’enhardirent en direction des poils pubiens, qui avaient la couleur brun chaud d’un feuillage à l’automne, puis coururent le long de l’aine, juste un peu, pour remonter ensuite sur le ventre, jusqu’au nombril, puis plus haut où ils suivirent la courbe d’un sein, la comparèrent avec celle du second, puis plongèrent vers le bas. J’insistai cette fois un peu plus sur le pubis, tandis que mon autre paluche palpait la chute de reins, les fesses dont elle pétrissait la chair, puis descendait taquiner l’arrière des guibolles. J’atteignis le creux des genoux, puis repartis entre les jambes, lentement, pendant que de l’autre côté mes doigts voyageaient de plus en plus près des zones les plus sensibles, de la pointe des seins à la naissance de l’entrejambe.
    
    Lucie déplaça un pied, se trémoussant et écartant les quilles pour faciliter la montée de ma main entre ses cuisses, par l’arrière. Son odeur de femme montait vers moi, me rappelant que je commençais également à m’échauffer. J’effleurai bientôt une région humide, mes phalanges s’engageant doucement entre les fesses de Lucie, et elle frissonna ...
    ... lorsque je les fis remonter vers le haut, jusqu’aux reins.
    
    Un bref regard vers la salle de séjour me donna une idée.
    
    Je soulevai tout à coup Lucie en me levant de mon tabouret, et elle poussa un petit cri de surprise en s’accrochant à mon cou, par réflexe. Je sentis son corps se raidir contre le mien, mais elle riait sans se débattre alors que je l’emmenais dans le living, où je la couchai sur un des poufs en forme de poire. Elle se détendit immédiatement et se laissa aller en arrière pendant que je me débarrassais de ma chemise. Quand je me mis à genoux et me penchai sur elle, elle écarta spontanément les gambettes, attirant des deux mains ma tête vers son ventre tandis que mes doigts cherchaient ses doudounes.
    
    — Tu as de bonnes idées, pour un grand timide, apprécia-t-elle.
    
    Je remontai rapidement vers son visage, rencontrai son regard assombri par l’éclairage rasant qui provenait de la cuisine et accentuait creux et reliefs.
    
    — Le grand timide, c’est aussi un gros gourmand, lui jetai-je avant de m’emparer de ses seins et de les embrasser l’un et l’autre tour à tour.
    
    Mes mains caressaient et pétrissaient, tandis que ma langue tournait autour des mamelons dressés, que je serrais ensuite doucement entre mes lèvres. Lucie tenait ma tête, essayait de la diriger, poussant par-ci, tirant par-là, en m’encourageant par des murmures de plaisir et d’impatience. Je sentis ses jambes accrocher mes hanches et les tirer vers l’arrière en même temps qu’elle poussait sur mon ...
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