Morgane, ma patronne (5)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Phantome, Source: Xstory
... tout ce que je veux... cela ne semble pas possible.
Je regarde Morgane dans les yeux, mes doigts dans ses cheveux si doux et je lui dis.
— Je veux juste te faire plaisir, te rendre heureuse. Pas mon esclave.
— Fais-moi plaisir, Alex. J’en ai assez de jouer les femmes fortes, les patronnes tyranniques.
J’ai souvent ce fantasme, me faire dominer, être soumise à un homme pervers qui m’obligerait à faire ce qu’il a envie, juste pour son plaisir. Ce soir tu seras mon Maître. Défoule-toi Alex, profites-en, tu n’auras peut-être plus cette occasion de posséder ta patronne comme tu le veux... dans tes fantasmes...
Si elle veut jouer à ce jeu je ne vais pas m’en priver.
Je me détache d’elle et j’admire... mon esclave.
Morgane a ses cuisses largement écartées, la chair grasse de ses grandes lèvres ressort sur le côté de son slip qui s’insinue dans la fente de sa chatte.
— Lève-toi.
Mes yeux ne voudraient pas quitter cette belle vue de son entre cuisse mais je vais jouer le petit jeu « Maître-esclave » désiré par ma patronne.
Elle se soulève du lit mais je trouve qu’elle va trop vite.
— Stop ! Quand je te demande de faire quoi que ce soit, fait le comme une esclave soumise mais contrainte. Tu le fais lentement pour que je profite de ton corps sexy que tu m’offres. Compris ?
L’iris des yeux de Morgane se rétréci et je crains un instant qu’elle va remettre en question mon autorité en tant que maître, mais elle ébauche un sourire et me répond ...
... docilement.
— Bien sûr, Maître, j’aime quand vous me regardez...
Malgré son désir de soumission, je détecte un soupçon de faible impudence dans sa voix. Bon dieu que j’aime la force de cette femme. Elle me défie et elle me teste en même temps.
— Excellent ! Maintenant, s’il vous plaît, lève - toi lentement.
Je lui caresse sa joue en la regardant avec un sourire un soupçon carnassier car la partie de l’animal primitif qui est dans tout homme, ressurgit de mon moi profond.
Reniflant sa délicieuse odeur de femme qui se dégage de son corps je lui ordonne.
— Retire ta nuisette.
Sans reculer et rompre le contact visuel avec moi, elle soulève sa nuisette avec un air de défi.
— Lentement ! Et ne me fais plus répéter !
— Oui... Maître, je suis désolée.
Ses cuisses entièrement dévoilées sont superbes avec leurs rondeurs harmonieuses qui filent vers sa taille étroite. Son ventre qui apparaît ne présente aucun défaut et le léger bombé appelle la caresse d’une main ou d’une bouche.
La nuisette glisse sur ses seins encore à moitié couverts par son soutien-gorge rouge un peu transparent, déformé par ses tétons érigés sous le fin tissu, assorti à son string qui ne cache que l’entrée de sa chatte.
Elle respire lourdement en me révélant sa nudité comme la première fois il y a presque un an. Je me retiens pour ne pas me pencher et mettre ma bouche sur ses aréoles et sucer ses beaux tétons qui sont si sensibles.
Avant qu’elle ne laisse tomber sa nuisette par terre je ...