1. I - Liaisons dangereuses (53)


    Datte: 11/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    ... tour et part sans même me regarder, ne lâchant pas l’hôtesse des yeux.
    
    Je les regarde s’éloigner avec un petit sourire aux lèvres. Une nouvelle fois, Jenny ne s’est pas trompée dans son jugement quand elle a estimé que l’hôtesse était une grosse coquine ; je ne lâche pas l’heure du regard, en profitant pour m’imaginer les deux femmes s’amuser ensemble.
    
    H moins 15 minutes.
    
    Sans doute qu’elles doivent être en train de se rouler une pelle monstrueuse et Jenny, connaissant sa passion pour les derrières féminins, a déjà dû agripper son cul en même temps. Je les imagine s’effeuiller l’une et l’autre, se lécher les seins avant de descendre plus bas ; je suis sûr que l’hôtesse ne sera pas déçue par la belle petite chatte parfaitement épilée de ma patronne, qu’elle ressentira un plaisir certain à passer le bout de sa langue entre ses nymphes et à déguster le jus de plaisir qui doit déjà imprégner son sexe au vu de l’excitation qu’elle ressent depuis l’aéroport.
    
    H moins 10 minutes.
    
    Quant à la chatte de l’hôtesse, je l’imagine à l’image de sa propriétaire, voluptueuse, charnue, avec de belles lèvres brunies, suintantes de mouille, qui pendent juste ce qu’il faut pour donner envie d’aller les chercher une par une pour les aspirer. Je ne la vois pas épilée mais surmontée d’un petit tapis de poils sur lequel je me verrais bien frotter mon gland avant de la prendre. Ses seins aussi, Jenny se fera un plaisir de lui sucer les tétons un par un, j’imagine ses belles mamelles ...
    ... pendre, un peu à l’image de celles de Shama mais en plus ferme cependant, avec de larges aréoles brun clair.
    
    H moins 5 minutes.
    
    Mon cœur se met à battre de plus en plus, mon imagination débordante a fait son œuvre et je ne cesse de me tortiller sur mon siège afin de trouver une position agréable pour supporter l’érection qui ne demande qu’à bondir de mon pantalon. Mon agitation tranche avec le calme qui règne à bord, tout le monde ou presque est assoupi.
    
    H moins 2 minutes.
    
    Je me lève et commence à marcher à pas feutrés dans l’allée en essayant de paraître le plus détendu possible, même si je crève d’envie d’y aller en courant. Arrivé à l’arrière de l’appareil, j’ouvre le petit rideau qui sépare la cabine de cette zone, à ma droite se trouve la porte des toilettes et en face, un peu sur le côté, la fameuse porte décrite par l’hôtesse. Je referme le rideau après m’être assuré que personne ne me suivait et je regarde ma montre ; le délai est écoulé et même dépassé d’une trentaine de secondes. Je tapote doucement à la porte puis j’attends avant de poser mon oreille dessus pour essayer d’entendre quelque chose mais aucun bruit ne se fait entendre. Après encore quelques secondes, j’entends la porte se déverrouiller puis s’ouvrir et l’hôtesse me fait alors face, sa peau est un peu rougie et ses cheveux sont plus désordonnés que tout à l’heure mais pour le reste, on dirait qu’elle a réussi à préserver ses vêtements des étreintes qu’elles n’ont sans doute pas manqué de se ...
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