1. TABLE DE SAPIN 11


    Datte: 31/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... bonheur de mon épouse, trop épuisé pour encore reprendre le volant.
    
    Alors que je conduisais, je ne pensais qu’à une chose : la baiser de nouveau. A mes côtés, les jambes sagement croisées, Patricia regardait stoïquement la route. J’ai posé une main sur son genou, la glissais sous sa jupe. Sans que j’aie eu besoin de lui dire elle a décroisé les jambes. Je lui ai caressé la chatte au travers de sa culotte qu’elle allait remis. J’ai enfoncé le tissu entre ses lèvres.
    
    - Tu es toute mouillée. Tu as aimé, n’est-ce pas ?
    
    - Oui, ça m’a fait du bien. Ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une queue de ce côté-là.
    
    - Surtout tu ne dis rien à personne.
    
    - Tu peux compter sur moi.
    
    Après un court silence, elle a enchainé :
    
    - Mais dis-moi, maintenant que je te tiens, j‘aimerais savoir une chose.
    
    - Oui, et quoi donc ?
    
    - Est-ce que tu te tapes ma mère ?
    
    - Qui t’a dit cela ?
    
    - Personne ! C’est juste une intuition.
    
    - Eh bien ton intuition s’est trompée. Je me vois mal me taper ma belle-mère.
    
    - Tu t’es bien taper ta belle-sœur.
    
    - Ce n’est pas la même chose.
    
    - Ah oui ! Et pourquoi ?
    
    - Je ne sais pas moi. Tu en as de drôle de question. Et d’ailleurs pourquoi ta mère ferait cela ?
    
    - Par ce que je la connais très bien. Tu sais que quand tu as demeuré à la maison, elle s’empressait de récupérer le slip que tu venais de retirer.
    
    - Comment tu peux dire cela… et de ta mère.
    
    - Parce que je l’ai vu tout bonnement. Et le plus beau c’est que ...
    ... c’était contagieux.
    
    - Toi… aussi ?
    
    - Je ne m’en cache pas de te le dire.
    
    - Et alors ?
    
    - Je trouvais ça très excitant. Fit-elle avant de rire bêtement.
    
    Pendant cette discussion, j’avais continué mon exploration, en plongeant ma main dans sa culotte. Et je l’ai gardé bien au chaud jusqu’à arrivée devant la grille des parents.
    
    Comme c’était prévisible ma belle-mère n’était pas rentrée. Heureusement qu’il y avait le trousseau de clé sous le pot de fleur. Alors que Patricia s’est occupée d’ouvrir la demeure je me suis chargé d’aller mettre dans son lit la fillette qui s’était endormie sur le siège arrière de la voiture. À mon retour, Patricia se tenait devant la table de sapin. Attendant sans doute une suite à notre première relation.
    
    Elle n’a pas prit la peine de patienter plus longtemps. Se jetant sur moi, se débarrassant de tout se qui pouvait la gêner pour arrivée à ses fins.
    
    - Eh là ! Fis-je, ta mère ?
    
    - J’ai verrouillé les portes. Et en plus l’en entendra arrivée.
    
    Me désignant la fenêtre côté rue. Elle a approché sa bouche de mon sexe. Posant la pointe de sa langue sur mon gland. Un long frisson m’a parcouru. Avec l’impression que ma tête me tournait. Décidément elle savait s\\\'y prendre. J’ai sentis son souffle chaud sur ma verge. Elle a arrondit la bouche et a commencé faire pénétré mon gland dans une caverne brûlante et humide. Doucement presque imperceptiblement elle a avalé entièrement ma queue. Frottant son nez dans ma toison. Elle avait les ...