Le gamin du pensionnat
Datte: 30/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... professeure. Si je peux te donner, ne serait-ce qu’un conseil, c’est de vite te fondre dans le moule ou tu n’as pas fini d’avoir mal. Je parie même que tes parents ont coché la version sévère du contrat. Tu sais, ici, princesse, ouvrier, fils ou fille de, ça n’existe plus, tout comme pour la couleur de ta peau. Alors fais là à la cool et tu t’en tireras. On est tous dans le même bain. Ça va, ça se calme ?
- Oui, snif, pardon.
- Ok, c’est bon. Maintenant, je dois te mettre de cette pommade sur ton sexe. Désolé, mais c’est un ordre de notre sœur Marie-Madeleine. Il faut que je relève ton postérieur. Je vaste glisser un gros coussin sous ton ventre.
- Fais seulement, là, je suis juste crevée et j’ai trop mal pour te disputer.
Ma main sur sa chatte douloureuse, j’étale tendrement cet onguent. Parfois, ma bouche se pose sur ses fesses, son anus au gout parfumé de lavande. Très vite, malgré une douleur encore intense, son sexe sécrète ce désir de plaisir inavouable. Aussi délicatement que possible, je pousse mon majeur dans son minou, le meus dans son sexe, tout en douceur. Très vite aussi, elle me supplie de ne pas m’arrêter en redemandant pardon pour ses insultes, son crachat. Je l’amène à jouir quand ma bouche se dépose sur la sienne, la rendant muette. Son merci soufflé à mon oreille vaut toutes les excuses au monde. La main de ma nonne préférée se pose sur mon cul. L’autre se pose sur les reins d’Ambroisine. Cette dernière me fixe, hébétée.
- Ne t’inquiète de ...
... rien, encore une ou deux punitions du genre et tu seras entièrement des nôtres. Ma belle, sois-en et tu vivras des orgasmes encore plus démoniaques, n’est-ce pas ma douce nonne.
- Ô que oui, mon cher fils. Tu vois, jeune écervelée, ici, quand on te punit pour la toute première fois, Christian te soigne, te fait jouir et après seulement il te demande si femme tu veux être par lui. Il est le plus doux et attentionné des hommes si on ne le provoque pas. Du reste, en accord avec la mère supérieure, Christian, te voilà promu au rang de garde de cette demoiselle. Quoiqu’elle veuille entreprendre, elle doit obligatoirement t’en faire la demande. Tu es libre d’accepter ou de refuser, tu es aussi libre de la punir si elle se montre encore détestable. Il semble que leurs majestés, ses parents, ne la pas si digne que ça de régner un jour sur son royaume. On la trouve quelque peu hautaine, se prenant pour le nombril du monde.
- Ma sœur, voilà un rare honneur qui m’est fait.
- Il me faut te dire, pour ta gouverne, que si celle qui est ta génitrice n’était pas en nos murs, dans le rôle qu’elle affectionne tant, il se pourrait que cela soit différent. Et puis, ton père, il est loin de l’image qu’il veut donner, il me semble
- Ma mère est une femme à qui il manque des années d’affection, d’amour par la faute de mon père. Celui-ci dort désormais en prison, grand bien lui fasse et qu’il y crève. Je hais cet homme et tout ce qu’il représente. Si je pouvais, je le suspendrais par ses ...