1. Un rêve ou la réalité ?


    Datte: 30/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... des fantasmes.
    
    Elle évite mon regard.
    
    Je retourne vers l’écran.
    
    — Parfait. On fait comme ça.
    
    Rémy me regarde.
    
    — Tu es sûr ?
    
    — Oui. Il est temps que je passe de l’imaginaire au réel. Agnès a manifestement pris de l’avance sur moi.
    
    — C’est vrai. Elle est très demandeuse de sensations fortes. Manifestement il n’y a pas que tes lecteurs anonymes que tes histoires excitent.
    
    — Alors il faut la satisfaire. Je voudrais juste qu’elle ne sache pas que c’est moi. Fais-lui croire que je suis vraiment un de tes amis.
    
    — D’accord.
    
    Nous retournons dans la chambre.
    
    — Je suis de retour.
    
    — Ah !
    
    — Je suis avec un ami.
    
    — Oh. Je le connais ?
    
    — Non.
    
    — Je vais te détacher. Mais je veux que tu me promettes de ne pas chercher à enlever ton bandeau.
    
    — Promis.
    
    Petit rire.
    
    — C’est trop excitant !
    
    Il la détache. Elle frotte ses poignets. Manifestement, ses jouissances l’ont fait bouger au point de tendre ses liens.
    
    — À quatre pattes. Il veut te prendre en levrette !
    
    — Oui. Oui. Tout ce que tu veux. Mais… dépêche-toi… J’ai envie. Ça m’excite !
    
    — Ne t’inquiète pas.
    
    Rémy me fait un geste. Voir ma femme se laisser diriger comme cela m’a excité à nouveau et je rebande. Tout naturellement elle s’est installée au bord du lit. Les traces du maillot de bain minimaliste qu’elle a porté cet été semblent concentrer le regard vers la raie des fesses et son minou rose avec des coulures du foutre de son amant.
    
    Que je suis bête ! Je m’étais ...
    ... étonné que cette année, Agnès s’achète un maillot si petit et assez éloigné de ce qu’elle porte d’habitude, et une tendance à souvent détacher le haut, même parfois à l’enlever carrément, pour minimiser les traces de bretelles. Cela aurait dû m’interpeller. Elle était déjà la maîtresse de Rémy !
    
    Ses lèvres m’attirent. La fente suinte de foutre. Son amant a été généreux.
    
    Mon gland est littéralement aspiré. Le reste suit et d’une poussée appuyée, je me retrouve déjà au plus profond.
    
    — Oh ! dit la femelle qui aussitôt se tortille pour mieux me sentir. Tu es bien dur. Quelle vigueur. Trois fois de suite.
    
    Manifestement, Agnès n’a pas cru à l’arrivée d’un ami. Elle pense que c’est son amant qui la prend de nouveau, pour la troisième fois. Elle ondule dans un mouvement impossible à décrire. Ma queue me paraît bien petite pour satisfaire cette goinfre. Pourtant je suis dur, tendu, un mat, un bâton, un chibre !
    
    — Putain, tu es dur. Ça t’excite aussi.
    
    — Pas tant que cela, regarde, répond son amant en lui frottant son sexe sur le visage.
    
    Sexe qui, sans être totalement mou, présente des signes de faiblesse. C’est à ce moment qu’Agnès comprend que quelque chose n’est pas normal. Elle sent bien ce qui la remplit et… pourtant on lui présente une autre bite !
    
    — Mais… qu’est-ce…
    
    — Je t’avais prévenue que j’inviterais des copains.
    
    — Mais…
    
    — Assez de « Mais », suce-moi. Tu voulais un week-end exceptionnel ! Eh bien, tu vas l’avoir ! Allez, suce-moi, salope…
    
    Elle ...
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