1. La déchéance d'Horty Partie 1/4


    Datte: 15/09/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: MrLouis, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... éclair du sac, révélant une lueur métallique à l’intérieur. Il sourit. "On va te rééduquer."
    
    
    6eme chapitre : Horty rééduquée
    
    "D'abord, ferme les yeux," ordonna Louis, la voix basse et autoritaire.
    Horty obéit aussitôt, ses paupières s'abaissant tandis qu’elle entendait le froissement du sac et le cliquetis des objets métalliques.  
    Louis sort du sac des cordes, des bracelets en cuir, un collier, un martinet, un bâillon avec une grosse boule rouge, des pinces à seins et un bandeau pour les yeux.
    
    
    Les bracelets de cuir encerclèrent ses chevilles et ses poignets, les boucles se verrouillant avec un « clic » satisfaisant. Le collier en cuir avec des anneaux se referma autour de son cou, l’étreinte du cuir déjà familière contre sa peau.
    
    La situation excitait Horty. Elle poussa un petit gémissement quand Louis tira sur la corde, reliant les anneaux du collier à ceux de ses poignets, puis la faisant glisser vers la poutre au plafond.  
    
    Ses bras furent lentement soulevés, la tension écartant légèrement ses épaules, ses seins bombant davantage sous la contrainte. Le bandeau lui couvrit les yeux, plongeant son monde dans le noir.
    
    
    "Tu respires trop vite," murmura Louis, une main glissant le long de son flanc jusqu’à sa taille. "T’as peur ?"
    Horty secoua la tête, mais son corps tremblait, sa peau réagissant à chaque effleurement.
    "Bien."
    
    
    Louis s’empara du martinet qui effleura l’intérieur de ses cuisses, le cuir froid contre sa chair chaude. Elle ...
    ... retint son souffle, anticipant déjà la première morsure.
    
    
    Le martinet claqua contre sa cuisse avec une précision brutale, laissant une traînée de feu sur sa peau. Horty étouffa un cri, ses doigts se crispant dans le vide. Louis traça un autre sillon parallèle au premier, plus lent, plus profond, jusqu’à ce que sa cuisse frémisse et que ses jambes fléchissent légèrement.
    
    
    "Tiens-toi droite," gronda-t-il, agrippant sa hanche pour la redresser d’une main tandis que l’autre brandissait le martinet.
    Le troisième coup arriva, plus bas cette fois, cinglant le creux sensible derrière son genou. Elle serra les dents, un filet de salive coulant sur son menton.
    
    
    Les pinces à seins suivirent, serrées une à une sur ses tétons déjà durcis. La morsure froide du métal la fit se cambrer, un gémissement rauque lui échappant quand Louis tira dessus, allongeant délibérément ses mamelons.
    
    
    "Ça te plaît, hein ?" Sa voix était rauque, presque un ricanement.
    
    
    Elle hocha la tête, incapable de mentir, son souffle saccadé trahissant son excitation. La boule du bâillon heurta ses lèvres.
    "Ouvre".
    
    
    Le caoutchouc écarta ses mâchoires, étouffant ses sons tandis que la corde était tirée plus haut, forçant ses bras à s’arquer. Son corps était à présent une toile tendue, chaque muscle offert, chaque frisson visible.
    
    Louis passa derrière elle, ses doigts s’enfonçant sans préavis entre ses cuisses, écartant ses lèvres trempées.
    "T’es déjà toute mouillée." Il ricana. "Sale petite ...
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