1. Mon Beau Père 02


    Datte: 30/08/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    ... contre Sébastien pendant qu'il conduisait, en lui proposant de trouver un petit coin tranquille. Il me répondit qu'il en connaissait un parfait, une cabane de bûcherons, située sur les terres de son père, au fond d'un chemin de terre à plus de 2 kilomètres d'une petite départementale. Il me dit que les bûcherons ne viennent jamais en cette période et que l'on sera bien tranquille. J'étais toute excitée, après ces longues journées d'abstinences et dès que nous nous sommes engagés sur le sentier, je sentis mon sexe se liquéfier en prévision du plaisir que nous allions nous donner. A la bosse qui déformait son pantalon, je compris que Sébastien était dans les mêmes dispositions que moi. Je commençais à caresser son sexe à travers le pantalon, puis, ne pouvant plus résister, j'ouvris la braguette et le fis sortir. La route devenait de plus en plus chaotique, ce qui amplifiait mon excitation, car les cahots faisaient bouger la hampe de chair de haut en bas. Je ne pus m'empêcher de prendre ce sexe en bouche et d'y appliquer de petits suçons, un peu comme un bébé tétant un sein. L'excitation du moment et l'abstinence forcée ne permettraient pas à Sébastien de résister longtemps à ce traitement, j'en étais sure. Je caressais avec ma main ses testicules, en les malaxant doucement. Je sentis les contractions préalables à la jouissance de mon homme et m'appliquais à amplifier ma fellation, serrant les lèvres et aspirant en même temps. Il jouit dans ma bouche en poussant un puissant ...
    ... râle. La quantité de sperme qui s'échappât de sa verge était tellement importante que malgré mon envie je ne pus tout avaler et une bonne partie se répandit sur mon pull-over.
    
    Au même moment un grand bruit se fit entendre et la voiture fit une grande embardée. Nous étions à peine à 20 mètres de la cabane des bûcherons, mais dans la perte de contrôle liée à sa jouissance, Sébastien était légèrement sortit du chemin en avait roulé sur un rondin de bois.
    
    Il descendit immédiatement de la voiture, se penchât dessous et regarda attentivement la mécanique. Il déclarât alors que c'était certainement un cardan qui avait cassé, que l'on ne pouvait plus rouler ainsi et que cela risquait de nous empêcher de rentrer le lendemain, sauf si il pouvait trouver une pièce de rechange rapidement. Il me dit alors qu'il allait retourner à la route en courant pour trouver quelqu'un qui puisse venir remorquer la voiture. Il valait mieux que je reste dans la voiture à attendre, car je le retarderais plus qu'autre chose. Je lui étais reconnaissante de ne pas mentionner que c'était de ma faute que nous nous trouvions dans cette situation, et j'espérais vivement que nous pourrions réparer pour pouvoir partir comme prévu le lendemain matin.
    
    Je savais alors qu'une longue attente commençait et m'installais le plus confortablement possible dans la voiture. Il ne faisait pas encore trop froid pour la saison, et je n'avais pas besoin de faire tourner le moteur pour allumer le chauffage. Au bout de ...
«1234...10»