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Beau papa, chapitre 10.Quelques années plus tard
Datte: 29/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... chez monsieur Paul avec Jean, mon beau-père que je gardais précieusement comme des reliques. Je suis en avance mais j’attends l’heure, le temps semble figé, les minutes défilent avec une extrême lenteur. Il est enfin 18h00, je sonne à sa porte, il m’ouvre… J’entre pour la première fois chez lui, dans un lieu intime. Le mobilier est succinct et dépouillé, un peu comme lui. Il ne porte qu’un bermuda et un marcel. Je jeune homme presque ascétique est devenu un homme bien musclé, il doit prendre soin de son corps. Il s’est étoffé, son visage d’ado a laissé la place à celui d’un homme sûr de lui, de son pouvoir sur les femmes. -Entre Lucie ! C’est bien Lucie ? -Oui. -Je t’offre un café ? Pendant une heure, nous parlons comme de vieux camarades qui se sont perdu de vue sans qu’il n’essaie une seule fois de me toucher. Je n’y tiens plus, je me lève de mon fauteuil pour le rejoindre sur le divan. J’ai une meilleure vue sur son entrejambe où je discerne le renflement du tissu là où se situe sa verge. Il prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son bermuda en me regardant avec un sourire rassurant. Je lui rends son sourire et sens une excitation impressionnante monter en moi. Je me liquéfie, je ne peux m’empêcher de fixer son entrejambe que je commence à malaxer délicatement. Il ne réagit toujours pas. Je pousse un peu plus loin pour que mes doigts épousent son tuyau. Il continue de me causer pendant que je masse doucement son pénis que je ...
... sens frémir. Par petites avancées successives, je le sens croître irrésistiblement. Son membre gonfle sous ma main. La taille de ce que je tripote semble déjà imposante mais continue de gonfler sans cesse. Son souffle se fait plus rapide mais il reste stoïque. Claude fait l’indifférent à ce qui se passe entre ses cuisses mais la manche de son bermuda un peu rétractée depuis qu’il se laisse allez sur le divan laisse apparaître son gros gland mafflu qui essaie de se redresser. J’enfouis ma main sous son bermuda et tâte son pénis, ne pouvant m’empêcher d’exulter. Est-ce parce que je suis contente ou par l’appréhension de ce sexe très long que ma petite main n’en recouvre qu’une petite partie. Ce qui me fait encore plus peur, c’est sa grosseur dont mes doigts n’en font pas le tour ! Le gland violacé dégage une impression de puissance fascinante. J’ai beau avoir eu pas mal de partenaires, je suis toujours surprise de réaliser que les très gros calibres ne sont pas une légende urbaine. Je reste subjuguée en pensant à ce monstre encore caché que ma main tient fermement. J’ose enfin lui poser la question : -Je peux Claude ? En mettant mes mains de chaque coté de son bermuda. Il ne dit rien mais ânonne de la tête en relevant son bassin. Je tire sur son bermuda faisant apparaître la souche de cet arbre si puissant, de son baobab. Les centimètres s’ajoutent aux centimètres de ce braquemard hors-normes. Le quart de mètre vient de passer et la résistance du tissu ...