Journal d'une femme adultère (2)
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... raconte ses aventures quand ils se retrouvent, lui raconte les siennes, et ça les stimule quand ils vont au lit. Ils participent même à des partouzes. C'est pourquoi j'ai fini par lui avouer que j'avais rencontré Damien. Et baisé avec lui. Cela l'a mise en joie : "enfin, tu te décoinces, tu as mis le temps". Evidemment, elle m'a demandé des détails. Sur son corps, sur sa façon de baiser. Je me suis un peu violentée pour lui raconter. Mais cela l'a excitée à mort : "tu es tombée sur une épée de plumard, profites-en bien et surtout, ne me le présente pas". Sacrée Maud !
Samedi
Coup de fil inattendu sur mon portable. C'est Damien et il me propose de le rencontrer la semaine prochaine. Il viendra me chercher en voiture mais il me donne rendez-vous sur un parking de grande surface, "ce sera plus discret". J'approuve pleinement. "Il va faire beau, on baisera en pleine nature", me dit-il. J'en suis tout excitée et bien entendu, mon mari ne comprend pas pourquoi. Je lui raconte un bobard, une virée prévue avec Maud le week-end suivant, faudra que je la mette au courant pour qu'il n'y ait pas de lézard. Mais que le temps va me paraitre long jusqu'à notre prochaine rencontre. J'ai la chatte en feu et plus je me masturbe (dans les toilettes), moins je me calme. C'est l'enfer érotique. Ce type m'a ensorcelée avec sa queue. Incroyable que cet organe ait autant de pouvoir sur les femmes. Enfin, sur moi et sur Maud, au moins...
Mardi
Je me rends sur le parking convenu et je ...
... retrouve Damien dans sa voiture. Il est encore en short et en débardeur. Les poils sortent de partout. Je reluque ses biceps, ses triceps et ses quadriceps. Quel homme ! Il sent le sexe à plein nez. Son short moulant met en évidence le gros paquet entre ses cuisses. Je dégouline déjà. On s'embrasse furtivement et on met le cap vers la campagne. Je lui mets la main sur la braguette et je sens déjà son gland qui grossit sous la toile. Prise d'une impulsion subite, je tire sur le zip et dégage son pénis, déjà bien tendu. Je me penche et je le gobe pendant qu'il conduit, tenant le volant d'une main et l'autre ma nuque. Dieu que cette bite est bonne à sucer ! Je suis déjà en transes alors que son self control est impressionnant (tant mieux pour notre sécurité, ce que je fais n'est vraiment pas prudent). Je m'active, j'en ai plein la bouche, plein les joues, plein la langue, plein la glotte. Puis il me tire en arrière par les cheveux. "Arrête, on est arrivé".
Je regarde autour de moi. Que des champs à perte de vue. Pas une âme à l'horizon. Une haie nous sépare de la route la plus proche. On sort. Il vire son débardeur et son short. Il bande comme un cheval. Quand il me déshabille, je sens sa bite contre ma peau. A quoi bon poursuivre les préliminaires : je suis en feu et lui aussi. Il me dépose sur le capot de sa bagnole qui me brûle un peu le dos et les fesses, m'écarte les jambes et m'enfile là, comme ça, recta. Je couine un grand coup, sans crainte d'être entendue à part par les ...