1. Lise, une passion torride (5)


    Datte: 29/08/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: ambre19, Source: Xstory

    ... demande-t-elle ?
    
    — Oui... Oh oui, continue...
    
    — Mais ma parole, ça ne te suffit pas.
    
    Elle se déchaîne, et ses coups de boutoir me font avancer en glissant sur mes genoux. Je suis obligée de me cramponner à un meuble pour ne pas tomber, et je sens l’orgasme qui monte, inexorablement.
    
    — Je vais jouir !!!! Putain, ça vient !
    
    — Je ne t’ai pas autorisée à jouir, Ambre, aboie Lise.
    
    — Je ne peux pas me contrôler... Ooooooooh je jouiiis !
    
    — Salope, je vais t’apprendre !
    
    Des jets de cyprine giclent entre mes petites lèvres. Je ne suis pas encore redescendue sur terre, des spasmes continuent de me secouer, mais je sens le gode sortir de ma fente.
    
    Le gland gluant remonte, jusqu’entre mes fesses, que Lise écarte sans ménagement. Je sais ce qui m’attend. Lise va m’enculer, sans autre préliminaire. Je pousse un cri de douleur, lorsque l’olibos force le passage de mon anus serré. Mais il y a du plaisir, derrière cette douleur.
    
    Ma rosette se dilate. Pour m’aider, je passe une main entre mes cuisses, pour m’exciter en branlant mon petit bouton. Le gode peine à trouver sa place, puis en quelques secondes, mon œillet plissé s’ouvre entièrement, et il est comme aspiré.
    
    Petit à petit, le plaisir remplace la douleur. Je doigte ma chatte, et je sens à travers la mince paroi la verge de silicone aller et venir au plus profond de mon ventre. Et pour couronner le tout, Lise passe une main sous me poitrine, pour pincer et tordre mes tétons. Jamais je n’ai eu aussi mal, ...
    ... moralement et physiquement. Jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir...
    
    L’orgasme qui monte ne ressemble en rien au précédent. Il me tétanise, et je reste contractée un long moment, en le sentant me submerger. J’ai l’impression de me noyer. Je ne suis plus capable de proférer autre chose que des cris inarticulés, et une sorte de couinements d’animal qu’on égorge.
    
    Lise jouit aussi, en redoublant ses coups de reins, avant de s’immobiliser, le gode fiché dans mon petit trou dilaté.
    
    Puis notre plaisir reflue, et nous nous écroulons toutes les deux sur le parquet, haletantes, ruisselantes de sueur, nos cuisses maculées de mouille.
    
    Avant de se relever, elle me gratifie tout de même d’un long baiser, titillant ma langue. Mais aussitôt, elle commence à se rhabiller. Je la regarde désappointée, et je lui demande d’une voix suppliante :
    
    — Tu ne restes pas à dormir avec moi ?
    
    — Non. Ce sera seulement quand je le déciderai.
    
    — Mais quand veux tu me revoir ?
    
    — Après-demain. La météo prévoit du grand soleil. Bastien et moi, on t’emmène à la plage.
    
    — Mais j’ai cours !
    
    — J’en ai rien à faire. Tu es notre petite pute, tu fais ce qu’on te dit et tu nous suis. Ou alors... adieu.
    
    — Non, non ! C’est d’accord. Après-demain.
    
    — On viendra te chercher à 8h30. Tiens toi prête.
    
    Et elle s’en va sans avoir touché au repas que je lui avais préparé, sans presque me regarder, me laissant anéantie.
    
    Le pire, c’est que je commence à compter les heures avant d’aller à la ...
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