Les Mini-Trucs en vadrouille - Histoires de Sexe

Les Mini-Trucs en vadrouille

... Il-n-y-a-plus-de-place-à-l-hôtel-mais-monsieur, il-s-appelle-François-d-ailleurs, nous-prête-une-tente-pour-la-semaine.

Essayant de reprendre la main, François acquiesça :

— Oui, ça sera un peu petit, mais ça devrait aller.

La blonde, qui n’avait pas eu le temps de placer un mot, reprenait toujours son souffle lorsque Justine se leva également, se tournant vers sa copine et offrant ainsi à François la vision enchanteresse de son postérieur presque nu :

— Par-contre-comme-tu-peux-le-voir-il-y-a-un-prix-à-payer, dit-elle en montrant ses sous-vêtements au grand air.

François allait parler mais Justine lui écrasa la cuisse avec sa chaussure gauche. Le « Aouch ! » fut couvert par la voix de la grande brune :

— Pour toi il a été magnanime, tu n’as qu’un seul truc à enlever, et au choix en plus.

La portière arrière droite s’ouvrit, Christine s’apprêtant à descendre sur la route en petite culotte et soutif quasi-transparent pour prendre le sac de sa copine.

Alexandra balbutia :

— Mais je ne veux…

Ne la laissant pas terminer, Justine agita sa poitrine en se balançant d’un air sévère :

— Le chalet où on doit prendre la tente est à plus de cinq heures de voiture, inventa-t-elle complètement, alors t’imagines à pied !

La débarrassant de son sac malgré une petite résistance, Christine envoya le tout sur la banquette arrière :

— Et puis tu n’as qu’à enlever le haut, ça fera comme si tu étais en maillot de bain !

La blonde émit encore quelques ...

... faibles protestations, rapidement étouffées par le petit top que faisait remonter une Christine hyper-active, dévoilant à qui voulait le voir deux superbes seins dans un écrin de dentelle bleu, qui retombèrent lourdement une fois débarrassés de la couche supérieure de tissu.

Ses deux copines exprimèrent bruyamment leur approbation en poussant des « Aaah » enthousiastes.

Alexandra sourit faiblement, évitant de croiser le regard ébahi mais admiratif de François, et vint se placer sur la banquette arrière où la rejoignit Christine.

Justine se rassit et lança joyeusement :

— En avant la compagnie !!!

Ayant déserté le commandement, François obéit, remettant le contact et manœuvrant pour reprendre la montée qui menait au chalet.

Au cours du voyage, François devisa agréablement avec Justine, la conversation portant essentiellement sur leurs vies respectives, bien que de temps en temps il laissa ses yeux s’égarer sur une des trois poitrines qui tressautaient au rythme des cahots de la route, ou qui se balançait suggestivement dans un virage à tel point que François faillit caler plus d’une fois, oubliant de repasser une vitesse pour reprendre de l’élan. À chaque fois, la grande garce brune rigolait sans retenue, le scrutant impunément pour le mettre mal à l’aise.

À l’arrière les sacs à dos étaient bien sages et les deux copines serrées l’une contre l’autre se contentaient de regarder le paysage. Jusqu’à ce qu’Alexandra murmure :

— Arrête…

Sans se formaliser, ...