1. Soumise


    Datte: 29/08/2019, Catégories: ff, fplusag, couleurs, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Oral fgode, fsodo, sm, donjon, fouetfesse, init, confession, extraconj, bourge, fsoumisaf, Auteur: Patricia Cammarena, Source: Revebebe

    Je suis Véronique, une femme de cinquante-cinq ans, mariée depuis vingt-cinq ans et bourgeoise. J’ai un poste à responsabilités dans une grande entreprise française. La sexualité avec mon mari est pauvre : rapports de plus en plus espacés et conventionnels, manque de désir de la part de mon mari, bref j’ai besoin de beaucoup plus pour m’épanouir. Les fantasmes courent dans mon esprit, mais un revient de plus en plus fréquemment quand je fais l’amour avec mon mari : la soumission. En effet je rêve d’être soumise, de préférence à une femme. Je commence à consulter sur le net des photos et vidéos de femmes en cuir, qui martyrisent des femmes soumises à elles et cela m’excite, plus que la perspective de coucher avec mon pauvre mari.
    
    Il y a six mois, une nouvelle collaboratrice a été recrutée, une jeune femme de trente-cinq ans, très belle, d’origine africaine. Son allure est remarquable, mais la lueur qui brille dans son regard l’est d’autant plus. Quiconque soutient son regard, sent une confiance et un sentiment de domination assez peu commun chez une femme.
    
    À tel point que les hommes n’osent pas l’aborder ou la regarder dans les yeux. Je dois avouer que son arrivée a réveillé mes désirs de soumission. J’étais obsédée par elle, mes pensées étaient envahies par sa silhouette et surtout je ne rêvais que d’une seule chose : être son esclave… Je sentais le pouvoir qu’elle pouvait exercer sur moi, révéler la femme soumise qui dort en moi.
    
    Au bureau je ne pouvais m’empêcher ...
    ... de la regarder avec insistance lorsqu’elle déambulait dans les couloirs ou bien lors de la pause déjeuner à la cantine de la société. Ma culotte en était mouillée à chacune de ses apparitions.
    
    Mais tout a basculé un matin. Attablée à mon bureau en train de parcourir un dossier important, elle entre sans prévenir dans mon bureau. Surprise, je relève la tête brusquement et je découvre cette jeune femme, objet de mes fantasmes, entièrement vêtue de cuir et chaussée de talons aiguilles vertigineux. Ébahie, je reste interdite devant ce spectacle qui, je l’avoue, m’angoisse mais m’excite terriblement.
    
    — Tu crois que je te vois pas en train de me mater à longueur de journée ? me dit-elle sur un ton irrésistiblement dominateur.
    
    Voyant que j’en ai le souffle coupé, elle répète :
    
    — T’as perdu ta langue ? Réponds ! Tu crois que je te vois pas me mater à longueur de journée, salope ?
    
    Je balbutie quelques mots maladroitement et, sans coup férir, elle me coupe la parole avec ces mots, qui résonnent encore en moi :
    
    — Tu sais, les vieilles bourgeoises dans ton genre, je le repère à cent kilomètres à la ronde, et je sais ce qu’elles veulent : être dressées. Et moi, ma pute, je vais te dresser !
    
    Mon Dieu, elle m’a découverte… J’ai beau nier timidement, elle insiste, m’agrippe par les cheveux et plaque mon visage sur ses fesses moulées dans son pantalon de cuir noir.
    
    — Tu es à moi désormais, et je sais que tu aimes ça.
    
    Mes dénégations sont de plus en plus faibles. Le ...
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