1. Tante Jacky dans la grange


    Datte: 28/08/2019, Catégories: h, fh, extracon, alliance, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, amourcach, prememois, Auteur: J. Vincent, Source: Revebebe

    ... faisait plus fourrer, c’est elle qui maintenant se mettait en se servant de la bite de mon oncle. C’était dément. Elle se tordait et le suppliait de continuer à la darder de son membre.
    
    Tante Jacky redoubla ses petits cris de plaisir. Elle jouissait encore. Ses yeux largement ouverts et légèrement révulsés révélaient qu’elle se concentrait pour mieux sentir jaillir en elle cette décharge tout au fond, qu’elle semblait préférer à une décharge sur son ventre. Emportée par la délicieuse sensation qu’elle ressentait de sentir en elle se déverser la chaleur de cette longue éjaculation, elle lui dit alors :
    
    — Vas-y, mon salaud, vide-la en moi, ta grosse poche ! Mais fais-moi jouir avant tout. Oh ! Ce que c’est bon de te sentir jaillir comme un taureau en moi !
    
    Lorsqu’elle se fut un peu calmée, l’oncle Jacob se laissa presque choir sur elle et longuement, avec une lenteur calculée, il lui laboura le ventre de son pénis avant de s’affaler mollement sur elle tout en cherchant sa bouche, pour broyer ses lèvres contre celles de ma tante, dans un fougueux baiser. Puis il relâcha son étreinte avec une certaine tendresse et retira son pénis de l’antre chaud du plaisir, comme à regret. Il redressa le torse tout en demeurant agenouillé entre les jambes de ma tante qui pour sa part demeura épuisée et souriante, presque béatement, sur le foin. Elle lui dit :
    
    — Jacob, il ne faudrait plus le refaire. C’est insensé comme c’est bon, mais tu le sais bien que je suis une femme faible et ...
    ... tu sais parfaitement en profiter, tout comme moi d’ailleurs. Je suis mariée à ton frère. Tu te rends compte si jamais il nous surprenait ce serait épouvantable.
    
    L’oncle Jacob se baissa à nouveau et la fit taire en l’embrassant et en la pressant contre lui. Aux mouvements de ses fesses, je compris qu’il cherchait à la pénétrer à nouveau. Elle réalisa qu’il voulait la posséder une autre fois malgré les paroles qu’elle venait de lui dire et elle se débattit fermement. Elle parvint à se libérer et s’éloigner un peu, tout en tentant de parvenir jusqu’à sa culotte, en enserrant sa robe encore déboutonnée sur son admirable corps, nu à peine quelques secondes auparavant. Mais il se releva rapidement et la rattrapa en lui disant avec un grand sourire :
    
    — Attends, ma belle ! Je n’ai pas fini, moi. J’ai encore un petit besoin à satisfaire. Viens par ici ma jolie.
    
    Il la projeta sans réelle brusquerie sur le tas de foin et il faut bien dire qu’elle ne s’y opposa pas du tout, si ce n’est que par principe. D’autant plus qu’à peine fut-elle retournée sur le foin tout chaud qu’elle se plaça d’elle-même à quatre pattes en lui disant :
    
    — Bon, alors vas-y, satisfais ton plaisir, mais il faut se dépêcher, car je dois aller préparer le dîner avant que Paul revienne. Fais-moi jouir encore. Ta bite est si dure et longue, et j’adore quand tu me possèdes. Je sais que tu aimes bien me prendre par en arrière alors, enfile-la ta grosse queue, mon vicieux d’étalon…
    
    En disant ces mots, elle ...
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