Nouvelle arrivée en ville (2)
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: 6734, Source: Xstory
L’ascenseur aurait pu tomber en panne. Elle aurait pu me plaquer contre un mur. Prendre ma gorge à pleine main, me contrôler complètement tandis que sa main perverse serait venue frotter mon sexe ; jouant contre mes grandes lèvres, glissant sur mon clito et mon con.
Mais il n’y avait pas d’ascenseur. Je suis désolé pour vous, lectrices et lecteurs ; pas encore de fantasmes assouvis dans un ascenseur.
Mais j’ose essayer. Si vous me croisez un jour dans une cabine d’ascenseur dans mon petit tailleur noir, une boucle d’oreille en X à droite et deux anneaux créoles à gauche n’hésitez pas.
Mais retournons à mon histoire. Je la suivais dans un escalier tortueux. La lumière était blafarde et clignotante, l’escalier fatigué par les âges et les murs défraîchis.
Mais je n’y pensais pas. Je sentais mon appétit dans mon bas-ventre gonfler. Mon string était trempé, dégoulinant. J’avais envie de sentir cette femme se serrer contre moi à nouveau, me serrer dans ses bras.
Je n’avais pas l’habitude des expériences lesbiennes. J’étais plus habitué au sexe masculin. A la puissance de leur bras soulevant mon petit corps et me baisant sauvagement.
Mais là ce serait différent. J’allais goûter à la délicatesse vicieuse d’une femme inventive qui comptait jouer avec moi.
Son appart était petit, mais mignon. Une petite mansarde sous les toits, un petit duplex en dehors du temps.
Elle ne me laissa pas m’extasier devant sa déco. Elle me guida jusqu’à sa chambre où trônait un ...
... grand matelas posé sur le sol. Des piles de livres traînaient autour comme les colonnes du futur temple de l’amour que nous allions bâtir toutes deux en ce lieu.
Un tableau était accroché au-dessus du lit. Un prénom y était inscrit en lettre manuscrite en une magnifique calligraphie.
Léa
Ce n’était peut-être pas son nom mais cela me permettait de mettre un pseudo sur un visage.
Léa fit glisser mon futal sur mes cuisses. Ses mains glissaient sur mes cuisses, jouaient déjà avec l’élastique de mon string. Elles passèrent sous mon t-shirt, remontèrent sur mon ventre, attrapèrent mes hanches et me plaquèrent contre elle. Elle était dans mon dos, m’obligeant à cambrer mon petit fessier contre elle. J’adorais ça.
Ses mains caressèrent le galbe de mes seins, glissèrent sur ma gorge.
— Je vais te faire couiner ma chérie. Et tu vas adorer ça.
Je haletais. J’avais envie de tout, de sa langue, de son sexe, de ses seins. J’avais envie de continuer à sentir ses caresses sur mon corps, de sentir sa chaleur, la douceur de sa peau.
Elle me poussa délicatement sur son lit. J’étais à quatre pattes, croupe tendue.
— Cela t’embête si j’invite des amis ? Me demanda-t-elle me montrant un délicieux gode violet. Il devait faire une vingtaine de centimètres pour trois de marge. La parfaite taille pour me faire couiner et hurler de plaisir.
Ma manière de me cambrer de plus belle en soupirant dut sembler être une réponse car je sentis presque aussitôt le bout du gland factice ...