1. Maman...pourquoi es tu aussi salope ? (10)


    Datte: 27/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... se pencha pour allumer la cigarette de sa mère et loucha sur son décolleté. Comme il l’avait subodoré, Henriette avait retiré son soutif et il vit les tétons très bruns, tendus à l’extrême sous le tissu arachnéen du chemisier. De toute façon, sa mère avait laissé le minimum de boutons, et la naissance de ses seins était très apparente. Alors que son fils était penché sur elle, elle en profita pour saisir la grosse bosse qui déformait le pantalon, et commença à la caresser :
    
    " Eh bien, je le fais bien bander mon petit salop de fils ! Tu caresses les seins de maman ? Tu veux que je te suce ?
    
    Philippe n’arrivait pas en croire ses oreilles. La bite à l’air, pleine de sève, il sentit les doigts fins de sa mère la manipuler, il sentait aussi le souffle chaud de sa bouche sur son gland, tandis que lui, avait une main sur les seins dénudés de sa génitrice. Et puis...
    
    " Oh, et puis non ! Je ne vais pas te sucer aujourd’hui. Je te le ferai quand tu m’auras amené cette chienne de Josiane et son fils chéri ! "
    
    Frustré et désappointé, Philippe s’éloigna vers le fauteuil en face de sa mère, et s’y laissa choir.
    
    — Bon, allez, petite compensation... tu peux mater la chatte à maman et te branler !
    
    Philippe vit alors sa mère écarter ses jambes, remonter doucement le tissu de sa jupe sur ses cuisses, le porte-jarretelles apparaître, ainsi que le triangle de poils noirs et la fente d’un rouge vif. Henriette y plaça ses doigts et tout en gémissant d’une façon très provocante, ...
    ... commença à se donner du plaisir. Son fils en face, les yeux rivés sur la chatte maternelle, se masturbait, pour éjaculer très vite sur le sol du salon.
    
    — Tu nettoieras, mon chéri !
    
    Peu après, quand il regarda sa mère en bourgeoise "fatale", rejoindre sa voiture, celle-ci se retourna :
    
    — Au final, tu sais pourquoi je vais le faire ?
    
    — Ben, pour me faire plaisir ?
    
    — Non ! Pour voir cette pute de Josiane me bouffer la moule, et après, l’enculer au gode-ceinture, cette petite salope ! Et j’ai très envie de te voir la défoncer, toi et ton crétin de copain... voir un fils baiser sa propre mère... le pied !
    
    Sur cette vision onirique qui lui emplissait l’esprit, Philippe eut de nouveau une érection de belle facture, en pensant à la suite !
    
    Henriette avait bien fait les choses ! Ayant laissé sa petite Opel sur un parking, elle marchait sans appréhension vers le camp de gitans, où résidaient Mario et quelques membres de sa bande.
    
    Elle marchait sur ses escarpins vernis noirs, qui laissaient un claquement caractéristique sur le bitume : Jupe fourreau noire, chemisier crème et boléro rouge-carmin aux manches longues, ajouré et brodé, avec ses pans liés sur sa petite poitrine. Des bas coutures gris rehaussaient la finesse de ses longues jambes...
    
    Elle savait que son apparence de grande bourgeoise classe allait créer un certain trouble chez Mario et ses copains...
    
    Elle pénétra sur la grande prairie occupée par des caravanes blanches, nickel, avec leurs antennes ...
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