Hors Normes (2)
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... employer tous mes efforts pour que David ait une vie la plus épanouie possible…
Même avec son formidable appétit sexuel, même après quatre reprises qui m’ont laissé épuisé, ouvert à l’extrême, et rempli de son abondant nectar.
Même si ça devait être… « Hors Normes »
Quelques jours après, Antoine m’appelé.
David était plus calme, mais commençait à s’agiter… Il me réclamait. Il scandait mon prénom en demandant à son père que je vienne…
Antoine a demandé mon aide, et je m’étais attaché à lui, et surtout à David aussi. Je comprenais aussi bien la détresse du père, comme celle du fils…
Je savais que je pouvais faire du bien à David… Avec mon don de moi, sans limite, mais aussi avec ma tendresse, ma douceur. Il avait envie de moi, certes, mais aussi de mon aide pour le sortir, peu à peu, dans ce carcan où il était enfermé.
Le lendemain, je suis allé chez Antoine, qui m’a accueilli à bras ouverts, et j’ai eu beaucoup de plaisir à me sentir contre lui, humer ses odeurs de mâle, et avoir son sexe qui grossissait contre mon ventre.
« David recommence à s’agiter… Je ne sais pas ce qu’il se passe avec toi, mais tu sembles le seul à lui procurer un certain apaisement. De plus, j’ai eu beaucoup de travail ces derniers temps et comment dire… Je n’ai pas pu m’occuper de lui. »
J’avais compris, David était en manque de sexe et il n’avait pu se satisfaire que manuellement, ce qui ne lui plaisait pas trop. Dans ces cas-là, il régressait dans les progrès que je lui ...
... avais faits accomplir et réclamait cet accouplement bestial que j’avais connu lors de nos premières rencontres.
Antoine me prit dans ses bras, commença à m’embrasser et à me caresser, partout. A prendre ma main pour la mettre sous son tee-shirt et caresser sa poitrine velue. Il connaissait mon attirance pour les poils, ce contact soyeux sur le corps de l’homme.
« Il n’y a pas qu’à David à qui tu as manqué, moi aussi j’ai trop envie de toi »
Sa barre de chair, énorme et dure plaquée contre mon ventre m’en donnait la preuve ainsi que sa main qui s’était introduite dans mon bermuda, malaxait mes lobes et s’insinuait dans ma fente, la caressant de mouvements circulaires. J’ondulais des fesses, prenant plaisir à ces caresses, laissant courir mes mains sur ce corps velu, jusqu’à atteindre la ceinture de son short que je baissais d’un coup.
Rien dessous, et la poutre apparut devant moi, se jetant sur mon visage, avec ses effluves de mâle, cette odeur forte, remplie de testostérone, de phéromones, de sexe qui a mariné pendant dans un boxer pendant toute une journée de travail. Antoine, comme David, étaient circoncis, donc pas d’odeur de « fromage » ou de pisse, désagréables pour moi, juste ce parfum suave que dégage naturellement le membre de l’homme.
Ma bouche s’est posée sur son gland, mes mains sur ses couilles, grosses, pendantes et velues et je l’ai avalé, petit à petit, presque à le prendre en entier alors qu’il appuyait sur ma tête pour s’enfoncer jusqu’à la ...