1. Christine


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, Auteur: Wolpert, Source: Revebebe

    ... dessus… Décidément, le destin joue avec moi aujourd’hui.
    
    — Re-bonjour Christine.
    — Tiens… qui voilà ? La vôtre ne marche pas ?
    — Non.
    — Ben, celle-là non plus. Elle me met qu’elle est vide alors qu’on a changé les cartouches hier. Pff, impossible de bosser dans ces conditions !
    
    Elle s’agenouille alors pour fouiller dans la rame de cartouches et sa tête se retrouve à hauteur de mon entrejambe… Un éclair me passe où je suis en train de lui éjaculer au fond de la gorge. « Couché ! » intimé-je à mon sexe sur les nerfs. Elle se redresse subitement et se retrouve seins dressés devant moi.
    
    — C’est clair, poursuis-je, ça donne limite envie de rentrer chez soi.
    
    Elle me regarde dans les yeux, sévère.
    
    — Tu me testes ?
    
    Elle n’a pas un poste où il lui est permis de sécher le travail.
    
    — Je plaisante. Mais t’as pas dit non, non plus ; de toute façon, c’est toi qui sonnes le départ. Il y a une photocopieuse à l’atelier : on n’a qu’à y aller.
    
    Elle file droit dans les couloirs en claquant des talons et je marche en canard, tout figé, en me retenant de la mater. Si je commence à la détailler je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Vraiment, ce n’est pas possible qu’elle ne m’ait pas remarqué, mais elle reste imperturbable. On marche comme ça jusqu’à l’atelier, désert à cette heure, les opérateurs étant de matin et elle s’appuie sur l’imprimante, dos cambré, croupe offerte à ma vue.
    
    — Houlà, c’est quoi ce modèle ?
    
    Innocent, je me rapproche pour regarder par-dessus son ...
    ... épaule.
    
    — Fais voir.
    
    Finalement, je suis tout contre elle et je sens mon sexe se gonfler malgré moi. Christine s’arrête soudain de pianoter sur l’écran de l’imprimante. Je me prépare à bafouiller un mot d’excuse mais elle ne se dégage pas et reste contre moi en silence. Je palpite à deux cents à l’heure mais j’aime ça. Elle ne se trémousse pas, elle ne minaude pas : juste elle reste contre moi et tourne son visage vers le mien comme si c’était naturel. Elle a ses yeux plantés dans les miens et je sens que je dois être rouge comme une pivoine.
    
    Je sais qu’on est seuls. Sans un mot et tout tremblant, je m’agenouille devant ses fesses et je lui caresse les jambes, la croupe. Christine se cambre un peu plus et je plonge mon visage entre ses fesses. Je lui malaxe, lui descends la culotte et avance ma langue le plus loin que je peux pour atteindre son clitoris et me balader entre ses lèvres. Toute ma tension tombe; je veux lui brouter la chatte tout l’après-midi. Je n’entends rien. Je n’ai aucune idée de si elle apprécie ou pas mais vu comment elle se met à rouler du cul sur mon visage, je me dis que je dois continuer. De toute façon je suis hypnotisé et je ne sais pas m’arrêter.
    
    Collé entre ses fesses, je remonte et passe ma langue humide sur son anus.
    
    — Aaah !
    
    Ah ça, ça la surprend. J’insiste, et après une minute je suis littéralement en train de lui bouffer le cul. Je remonte ma main et commence à faire des allers-retours avec mon index. Elle n’est plus du tout ...
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