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GROUPE DE VACANCES 51
Datte: 26/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... exploser, si ce truc n'était pas indestructible, avec la pression de ma queue à l'intérieur il aurait exploser. C'était bon, c'était frustrant, un filet de sperme coulait de ma PK, je sentais tout mon corps vibrer, trembler … Oh oui encore ! … Les coup de butoir que m'infligeait Laurent devenaient plus rapide, plus violents encore, là il me faisait vraiment mal, sa respiration devenait plus saccadée, il râlait de plaisir … Je le sentais trembler de tout son corps en même temps qu'il gueulait de plaisir … Il me donnait un dernier coup, bien à fond, bien douloureux ( pour moi ), il restait enfoncé, je le sentais vibrer, il me caressait le dos puis se retirait … Benoît lâchait ma tête et un instant j'avais l'impression d'être libre de mes mouvements. Benoît : Vas y Régis, prend ma place … Régis s'installait à la place de Benoît et me présentait sa bite, je tournais la tête et je voyais Laurent qui s'était installé sur un fauteuil, il avait l'air ravis, il continuait à se tripoter, juste pour le plaisir de bander … Il s'était servi une bière et nous regardait avec attention. Je lui faisais un geste qui voulait dire … '' A boire '' . Il me tendait sa bière et au moment ou j'avalais la première gorgée Benoît me défonçait le cul sans prévenir, d'un coup, bien à fond, bien violent. Je gueulais et me renversais de la bière sur la figure. Mes trois camarades éclataient de rire. Benoît ne se retirait pas mais me laissait boire tranquillement. Laurent s'ouvrait une autre ...
... bière et mes deux autres camarades en faisaient de même. Je reposais ma bière, Benoît immédiatement recommençait à me buriner le cul. Il y allait doucement avec des mouvements lents et amples, il passait ensuite à des mouvements plus rapides toujours aussi amples puis il accélérait les mouvements devenaient moins amples. Il accélérait encore, il ne se retirait presque plus mais appuyait fort, très fort. Je ne contrôlais plus rien. Mon ventre me donnait l'impression de se relâcher, je ne savais plus si j'avais envie de pisser ou autre chose … Je voulais relever la tête pour reprendre mon souffle, Régis me retenais et prenait un malin plaisir à bien appuyer sur ma tête pour m'obliger à bien avaler sa queue, je suffoquais, j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer. J'aime bien aussi quand on me prend de force … On me faisait subir ce traitement encore un moment. Benoît ne retenait pas ses coups et au moment ou il hurlait, il poussait sa queue bien à fond, me prenait dans ses bras en me relevant, me serrait de toutes ses forces, continuait à pousser sa queue comme s'il voulait me soulever. Il me faisait mal, je gueulais mais ne parvenais à faire aucun bruit. Régis se collait à nous et m'embrassait. A deux il me soulevaient du sol, j'étais sur la pointe des pieds et je touchais à peine le sol … C'était bon ! Benoît finissait pas me lâcher et par se retirer. J'en pouvais plus. J'étais en sueur. En un instant je me sentais vidé, la sensation restait intense mais ...