Tenues d'été fort légères (1)
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: arlequin, Source: Xstory
... vers lui, du coup il heurte son épaule avec son coude et manque lui renverser un verre dessus. Il se penche alors vers elle pour s’excuser et reste en arrêt une fraction de seconde, bouche baie, les yeux écarquillés, à la fois muet et souriant, puis décroche à voix basse un:
— Merde alors !... ce coup-là, on me l’a jamais fait !... puis se tournant vers Sandra :
— Oh, mais elle aussi !...
Là c’est le fou rire général de toute la tablée, ce qui ne manque pas de faire tourner des têtes... et là, telle la propagation de la rumeur, chacun se lève, se déplace, tourne autour, donne son avis... certains ou certaines, sceptiques, tels Saint Thomas, osent toucher !... Eh oui... c’est bien de la peau sous leurs doigts.
Plus tard, Jean qui filme discrètement notre périple est bientôt imité par quelques photographes amateurs qui sollicitent nos deux modèles pour réaliser quelques clichés. Nina et Sandra, se plient volontiers à l’exercice qui les enchante, elles qui adorent se montrer nues. Pour ce shooting, elles sont entrées dans un bâtiment où se tient une exposition de peinture, plus calme que la rue. Là, toujours en compagnie de Cathy, et devant les plus grandes toiles, elles se livrent à une combinaison de poses qui attisent nos trois photographes dont un quinquagénaire américain qui doit dépasser le quintal. Jovial, chaleureux et coquin, il nous amuse de ses plaisanteries.
Un peu fatiguées, nos trois grâces s’assoient sur les marches d’un escalier et bien ...
... évidemment, leurs cuisses relevées découvrent leur intimité. Le micro string de Nina a glissé de côté. Si elle ne s’en est pas rendu compte, pour autant la chose n’a pas échappé à ses admirateurs qui, eux, matent sans vergogne son entrejambe. Tout ça dans les rires et la bonne humeur de l’américain titillé par la situation. Il en profite d’ailleurs pour solliciter des poses plus osées, jambes levées, écartées... Nina, tout à sa joie de faire le spectacle n’a pas réalisé que sa chatte prend l’air et continue sans aucune gêne son exhibition. Au gré des mouvements et de son excitation, émergent de sa fente ses petites lèvres roses, éclatantes sur fond noir... Elle en fait tant que Sandra s’exclame, un sourire aux lèvres ;
— Mais Nina, tu as perdu ton string ?... et Nina baissant le regard sur son entrejambe ;
— Quoi ? Comment ? Où est mon string ? Avec deux doigts passés sous l’élastique qu’elle étire, elle parvient à replacer le petit triangle au milieu... mais elle a tellement tendu l’élastique pour éviter un nouveau dérapage qu’après une autre série de poses, le triangle s’est cette fois replié dans sa fente, ce qui réjouit notre américain qui s’approche et, l’entoure de ses gros bras protecteurs, pour venir la remercier de sa générosité, en profitant au passage pour lui caresser les tétons en lui faisant la bise.
Au sortir de la galerie, nous sommes entourés de beaucoup de curieux, et même si la plupart des réflexions que l’on entend à la ronde sont admiratives, étonnées et ...