Le contrat - Histoires de Sexe

Le contrat

... banquette en face de moi, face au mur. Elle agrippa les barres des portes valises en levant les bras. Ses seins étaient magnifiques. Son petit cul arrogant était tendu et attendait son heure. Nos regards se croisèrent dans le miroir qui était au-dessus des banquettes.

L’homme, après avoir mis un préservatif, se plaça derrière elle.

- Tu as un magnifique petit cul, quel dommage que ton mari ne l’honore pas à sa juste valeur ! J’espère que tu penseras à moi à chaque fois que tu feras l’amour avec lui maintenant !

- Oui, je crois que je ne suis pas près d’oublier cette aventure !

Au même moment, l’homme introduit doucement mais puissamment son zob dans celui de ma femme. Une fois au fond, il demeura quelques instants pour bien faire sentir à ma femme la totale possession qu’elle était en train de subir. Je vis ses yeux chavirés, ses lèvres humides entrouvertes. Elle soupira et poussa un petit gémissement de plaisir.

- Oh...oui...comme c’est bon de sentir un vrai zob d’homme ! Elle ne me quittait pas des yeux tout en disant cela.

- Vas-y, défonce-moi !!!

L’homme ne se fit pas prier. Il devait bien connaître ses capacités car il ne ménagea pas son rythme. D’entrée, il pistonna violemment Nadia qui avait presque du mal à rester en place et qui était obligée de se cramponner aux barres pour rester stable. Il l’enserrait par la taille avec ses mains puissantes et lui arrachait un gémissement à chaque coup de boutoir. Elle agitait ses beaux cheveux dans tous les ...

... sens, des petites perles de sueur commençaient à apparaître sur tout son corps. Elle gémissait de plus en plus fort. L’homme, lui, restait imperturbable, conservant un rythme de métronome et ne se souciant absolument pas de l’éventuelle douleur que pouvait provoquer la taille de son engin dans le fragile sexe de ma femme.

C’est elle qui jouit la première, en poussant un long et langoureux soupir. L’homme la rejoint peu de temps après, finissant même dans une dernière accélération qui fit lâcher prise à Nadia. Elle s’effondra sur le dossier de la banquette, toujours vissée à l’homme qui, bien qu’ayant joui, conservait toujours un zob de taille imposante. Il sortit et fut remplacé presque immédiatement par un deuxième homme. Voyant que mon épouse avait à peine récupéré des assauts de son ami, il la fit s’asseoir sur la banquette, face à lui, les fesses légèrement au bord pour bien dégager l’entrée de son sexe. L’homme se mit à genoux devant elle et la pénétra d’un coup.

- Alors ma belle, prête pour une deuxième petite balade ?

- Oui, la même si possible, lui répondit Nadia en lui caressant le torse musclé. L’homme jouit plus vite que son ami, mais il amena de la même manière ma femme à l’extase. Elle était maintenant presque face à moi. Elle ne cessait, en me regardant, de passer sa langue sur ses lèvres, gémissant comme je ne l’avais jamais entendue gémir. Les autres hommes s’étaient placés de part et d’autre de ma femme et lui caressait les seins.

- Pincez-moi les ...